Jacques Colombier : « Avec Bruno Gollnisch ! Ne nous trompons pas d’élection… »

35 ans de militantisme aux côtés de l’homme exceptionnel qu’est Jean Marie LE PEN m’ont appris que le courage, la lucidité, l’endurance et l’amour indéfectible pour notre patrie pouvaient renverser le cours de l’histoire politique.

Ces qualités indispensables Bruno GOLLNISCH les possèdent.

Jean Marie LE PEN ne s’y est pas trompé, le jugeant à plusieurs reprises, apte en cas d’empêchement à assurer la tâche écrasante de présider le Front National sur lequel repose l’espoir de millions de nos compatriotes.
La force tranquille n’était avec F.MITTERAND qu’une formule au service d’un socialiste habité par sa propre ambition. La force tranquille de Bruno GOLLNISCH est réelle au service d’une seule ambition, celle de servir les français comme l’ont prouvé ses années de fidélité et de combat derrière Jean Marie LE PEN.

Bruno GOLLNISCH a l’étoffe des grands dirigeants politiques.
Son souci de rassembler la famille nationale découle d’une vision cohérente et de bon sens.
Aussi est-ce lui faire un mauvais procès que de voir dans cette démarche une faute ou une faiblesse.

Roger HOLEINDRE, Premier Vice-président, l’a très bien compris précisant qu’il n’était pas choqué par « ses appels à la réconciliation des patriotes, pourvu que ce soit dans un cadre précis et dans le respect d’une discipline nécessaire à notre dur combat ».

On rassemble d’abord son camp. Uni il n’en est que plus efficace et combatif évitant le piège mortel des discordes et de l’éparpillement qui fait le jeu de nos adversaires. Puis ce rassemblement doit s’étendre à tous les patriotes trompés depuis des années par des politiciens souverainistes de façade assurant à chaque élection la victoire de l’UMPS.
Enfin, naturellement on s’adresse à tous les français, appauvris et matraqués par le mondialisme.

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Bruno Gollnisch veut réconcilier la famille nationale

FRONT NATIONAL

Paris, le 18 novembre 2010

COMMUNIQUE DE PRESSE

Bruno GOLLNISCH,
Député européen
Vice-Président du Front National
Candidat à la succession de Jean-Marie Le Pen

Je découvre avec un certain étonnement qu’une prise de position de principe de ma part, n’excluant pas une réconciliation future avec certains de ceux qui ont quitté le Front National, susciterait des protestations, des leçons de morale, ou des admonestations déplacées.

Que les choses soient claires : je n ai évoqué aucun cas particulier. Je n’ai de contact avec aucun de ceux qui ont quitté le FN dans la région PACA, et notamment pas avec M. Jacques Bompard depuis plusieurs années. J’ignore même si ceux qui sont partis souhaiteraient revenir. Je me borne en revanche mais de façon ferme et résolue à évoquer de possibles réconciliations futures.
Avec qui ? Ce sera à examiner.
Selon quelles modalités ? Selon celles qui ont cours dans nos instances légitimes.

En un mot comme en cent : n’ayant aucun gage à donner quant à mon indéfectible loyauté envers le Front National, je continue à faire miens les propos de Jean-Marie Le Pen recevant chez lui Bruno Mégret en 2007 : « les Hommes d’Etat ne doivent pas conserver le souvenir des offenses passées dès lors qu’il y va de l’intérêt supérieur de la Patrie ».

Ceux qui s’offusquent de cette volonté de réconciliation ne me paraissent pas toujours
les mieux placés pour le faire ayant souvent eux-mêmes bénéficié d’une telle mansuétude.