J’ai rencontré Bruno Gollnisch pour la première fois en 1984 dans une réunion type « tupperware » qu’il animait ; j’ai pris ma carte du Front sur le champ et à partir de 1992, j’ai siégé dans le groupe de Bruno au conseil régional Rhône-Alpes pendant dix-huit ans. Cela m’a permis de bien le connaître et d’apprécier ses qualités d’orateur, sa culture encyclopédique et son extrême courtoisie avec tous, petits ou grands.
Mais plus encore, ce qui frappe chez cet homme politique, c’est la hauteur de ses vues, son souci constant du bien commun qui transcende les intérêts particuliers, son amour de la France qui lui a fait sacrifier honneurs, carrière, vie de famille… Il porte en lui, héritage d’une longue histoire familiale, un attachement profond aux vraies valeurs qui ont fait la France : dévouement à la Patrie, fidélité à un idéal, respect du travail, respect de la vie, soutien à la famille traditionnelle, souci des solidarités naturelles…
Oui, Bruno Gollnisch possède sans conteste toutes les qualités qui font le grand chef, le meneur et rassembleur d’hommes dont le Front aura un si extrême besoin dans les difficiles années qui s’annoncent. Il a la maturité et l’expérience politique et humaine nécessaires pour les grands combats de demain. C’est avec enthousiasme que je lui apporte mon entier et amical soutien.
Marie-Christine de Penfentenyo,
ancien conseiller régional Rhône-Alpes,
membre du comité central