Il fallait ce jeudi soir (16 décembre 2010) braver le froid, le neige, la grève des transports en commun (que sais-je encore ?!), pour venir écouter et entourer Bruno GOLLNISCH sur « ses terres » lyonnaises.
Un Bruno GOLLNISCH toujours aussi extraordinairement en forme, alliant humour et force de persuasion, pour donner à son auditoire attentif et passionné de nouvelles raisons (s’il en était besoin) de le justifier comme digne successeur de Jean-Marie LE PEN.
Christophe BOUDOT débuta la soirée par de bons mots à destination de son prédécesseur au poste de secrétaire départemental de la fédération du Rhône. Il plaça les qualités de Bruno comme première nécessité pour la tâche qu’il s’apprête à accomplir si demain nos adhérents lui font cette confiance de l’élire président du mouvement.
Thibault de la Tocquenay fut quand à lui prompt a rappeler la solidité de l’homme GOLLNISCH, son rôle premier dans la production d’écrits ou de projets de réformes contenus depuis des années dans le programme du Front : avec GOLLNISCH, le redressement de la France est possible : cet homme sait ce qui est nécessaire ; derrière lui, nous souhaitons pousser notre pays à la renaissance !
Prenant la parole après ces deux amis, le vice-président du Front régala comme à son habitude les plus courageux de ces partisans. Résolument candidat de l’anti-systême, ce que GOLLNISCH a clamé comme une fierté, capable de diriger la famille nationale par ce qu’il a prouvé par le passé et par son projet de gestion interne du mouvement, notre candidat a ravivé une nouvelle fois la flamme de l’espoir dans le cœur des Lyonnais.
La victoire est à portée de main. Nous croyons dans cette chance historique de victoire de nos idées, et nous confirmons notre volonté d’y être emmené par Bruno !
Amaury Navarranne