Suite à l’appel du comité « en marche pour la vie », ce sont près de 20 000 personnes qui se sont rassemblées hier à Paris dans le cadre de la 7ème Marche pour le respect de la vie. C’est donc naturellement que François-Xavier Gicquel et Edouard accompagnés de nombreux jeunes se sont joint à Bruno Gollnisch en tête de cortège afin de dénoncer la culture de mort aujourd’hui régissant notre société.
Avortement et euthanasie : les coupables sont pointés du doigt dès les premières minutes, en effet, dans un pays où près d’un enfant sur quatre est tué dans le ventre de sa mère (chiffre en constante augmentation depuis 30 ans que la loi Veil est passée), et dans lequel une jeune mère en difficulté se verra en permanence imposer l’avortement par les médecins ou « conseillers » du planning familial qu’elle pourra rencontrer, il est temps aujourd’hui de demander le rétablissement d’une politique d’accueil de la vie, proposant à ces femmes :
- des structures d’accueil, pour elles et leurs enfants et ce tout au long de leur grossesse et même au delà
- une amélioration des procédures d’acouchement sous X
- une procédure d’adoption franco-française allégée, ainsi que la promotion de l’adoption prénatale, permettant aux enfants français de trouver un foyer au sein de leur communauté avant les enfants Haïtiens ou cambodgiens.
- la mise en place d’un salaire parental afin de suciter une alternative à un avortement qui ne serait motivé que par des raisons économiques
Outre l’aspect profondément immoral de la suppression d’une vie humaine par sa propre mère, il est temps de réaliser que dans un Pays où le taux de natalité est au plus bas et où notre système de retraites est au bord de la faillite, c’est au gouvernement qu’il incombe dès aujourd’hui d’agir en faveur de la vie et non pas seulement aux associations et aux citoyens, même si ces derniers sont chaque année de plus en plus nombreux à manifester contre cette société sans Foi ni lois.
François-Xavier Gicquel
Si c’est le retour à la « pureté originelle » de la loi Veil que les JAG aspirent, je n’ai rien de plus à faire avec vous qu’avec Marine Le Pen ou Christine Bouttin. Merci de préciser ou de rectifier.
Matthieu Mautin
[modération : c’est rectifié Matthieu. Tu as raison bien sûr. Ce n’était qu’une maladresse.]