Quand Bruno Gollnisch défend la vie humaine innocente…

« La France est en train de se suicider et il est certain que si les français suppriment leurs enfants et font venir d’autres pour en faire à leur place, et bien ils ont forfait à vivre libres et indépendants sur la terre de leurs aïeux. » (Bruno Gollnisch)

« Il faut que la défense de la vie, la défense de la famille, la défense des collectivités naturelles que sont les nations, la défense des identités, parfaitement compatibles avec des valeurs universelles, soient davantage promues (…) sur le plan culturel, sur le plan social (…) et sur le plan politique. » (Bruno Gollnisch)

On comprend davantage ce combat lorsque la triste réalité d’un génocide s’impose à nous…

Jean

Qui somme-nous? 7ème et dernier volet

Pour sa stature intellectuelle, la clarté et la sécurité de sa ligne doctrinale, sa résistance au politiquement correct et à la pensée unique, sa fidélité indéfectible à nos valeurs et à notre programme, sa loyauté jamais démentie à notre président, même dans les heures les plus tourmentées, lorsque ses soutiens se faisaient rares également dans son entourage proche, son désintérêt personnel, sa constance dans le combat, sa capacité à rassembler sa famille politique, sa capacité à fédérer les droites nationales européennes et internationales desquelles il est reconnu, ses talents de tribun…Pour toutes ces raisons, et bien d’autres encore, la candidature de Bruno doit susciter auprès des militants une adhésion de coeur et de raison!

Définitivement, Gollnisch président!

Les jeunes avec Gollnisch

Nouvelle campagne, nouvelle affiche au FNJ: « Ici c’est la France! »

Nous saluons l’initiative du FNJ qui, sans rien sacrifier au politiquement correct, sort une nouvelle affiche afin de protester contre les derniers événements, qu’il est vrai, le refus d’une politique d’assimilation conjugué à une politique d’immigration massive rendait pourtant prévisibles. C’est l’histoire d’un communautarisme désormais assumé au grand jour, dans une société qui refuse démagogiquement de reconnaître et d’affirmer son identité culturelle, se réduisant ainsi à n’être plus qu’un immense terrain vague ouvert à tous les vents de l’altérité, et suscitant alors l’émergence de situations conflictuelles sur son sol, toutes les minorités s’invitant à y camper à leur guise et à revendiquer leurs intérêts catégoriels…

Jean

Bruno Gollnisch répond aux questions des internautes du Forum Catholique

C’est ici.

En voici quelques extraits:

Sur la politique et la morale:

« J’affirme très clairement que l’économie doit être subordonnée à la politique, et que la politique doit être subordonnée à la morale. Au minimum, si j’ose dire, la morale naturelle. »

Sur la laïcité:

« [La laïcité] me paraît, non pas une « valeur », comme on s’échine à le dire, mais une forme de tolérance dans une société qui a malheureusement cessé d’adhérer à des valeurs spirituelles communes. Il est clair cependant que cette laïcité est tout-à-fait insuffisante pour contrer, par exemple, la progression de l’Islam en Occident. Il y faut un renouveau spirituel, et pas seulement une démarche de simple prophylaxie sociale, vouée plus ou moins à l’échec. »

Sur l’Eglise et l’immigration:

« L’Eglise prône à juste titre le pardon des offenses. Mais que dirait-on d’un régime politique qui, sur ce fondement, renoncerait à punir les criminels ? Je prends cette comparaison, non pas pour comparer les immigrés à des criminels, loin s’en faut, mais seulement pour expliquer que la puissance publique peut être soumise à d’autres impératifs moraux, en vue du Bien commun, que ceux qui s’imposent aux individus. »

Sur le planning familial:

« Cette organisation malthusienne doit être, soit abolie, soit profondément remaniée dans un sens favorable à l’accueil de la vie, pour en finir avec ce que le Pape Jean-Paul II appelait la culture de mort. »

Sur la concurrence de la liste chrétienne en Ile-de-France aux élections régionales dernières:

« Vous avez naturellement le droit de souhaiter un engagement ferme en faveur de la défense de la vie. Je pense cependant que, plus que la liste chrétienne que vous citez, c’est la liste de Nicolas Dupont-Aignan qui a été la plus préjudiciable à celle que conduisait courageusement Marie-Christine Arnautu. Egalement la désinformation sondagique, donnant à la liste FN 4%, quand elle en a fait 9,5%. »

« J’ai regretté que Marine Le Pen ne soit pas restée en Ile-de-France, où sa notoriété aurait certainement compensé ces handicaps, et permis de franchir la barre des 10% à l’issue du premier tour. »

« Je crois toutefois que cette liste « chrétienne » n’a pas été profitable à qui que ce soit. Et surtout pas à ses promoteurs, qui n’ont réussi qu’à prouver que la défense de la vie, des valeurs spirituelles, etc., cela pesait dans l’opinion moins de 1% des suffrages !
Tel n’était certainement pas leur but, je suppose… »

Sur la liberté d’éducation des parents:

« Je suis hostile à la Carte Scolaire, favorable en revanche au chèque-éducation remis aux familles, éventuellement endossable même au profit des établissements hors contrat. Ce sont des positions, en tous cas, que nous avons toujours défendues dans les Assemblées, notamment au Conseil Régional. »

Sur la légitime défense:

« Je suis aussi pour la légitime défense. Si les policiers se font tirer dessus, ils doivent pouvoir répliquer. (…) La peine de mort est parfois une forme de légitime défense. Quelle peine appliquer aux époux Fourniret ? »

Sur d’éventuels accords avec l’UMP:

« Je ne suis pas prêt à faire des alliances avec l’UMP. J’ai dit que je n’étais en principe pas hostile à des alliances (avec qui que ce soit), à condition que :
1) Le ou les partenaire(s) éventuels le veuillent sincèrement et le demandent-ce qui n’est pas le cas à l’heure actuelle.
2) Ce soit dans le cadre d’un accord précis et clair – on en est loin.
3) …Pour appliquer au moins une partie de notre programme et de nos convictions.

Je n’ai pas besoin de faire de la surenchère dans la volonté de rester isolé pour prouver ma fermeté de conviction, ni mon refus des compromissions. Mais tout compromis, passé dans l’intérêt du pays, n’est pas nécessairement une compromission. Il n’y a là rien que de très normal, honnête, correct, et je dirai même : évident. »

Jean