Grenoble: vers la guerre intérieure?

Communiqué de Bruno GOLLNISCH

Lundi encore à Grenoble, 30 voitures ont été incendiées. Un dépôt d’armes de guerre a été découvert dans le sous-sol d’un bar grenoblois.

On apprend que les policiers de la brigade anti-criminalité sont fichés, menacés de mort avec leurs familles, pour venger le braqueur Karim Boudouda. L’intimidation fonctionne. Plusieurs de ces policiers censés eux-mêmes protéger les citoyens français ont été priés de « se mettre au vert » par leur hiérarchie. On envoie des renforts. Qui protègera ensuite les renforts ? Les parachutistes ? Les blindés ?

Ces évènements sont d’évidence les prémices d’une guerre intérieure révolutionnaire telle que les Français l’ont déjà subie en Algérie : guerre contre la France et l’État, contre les Français et leurs biens. Si « une politique se mesure aux résultats », force est de constater que celle des autorités françaises au pouvoir depuis des décennies est un échec cuisant. Elles seules, et non le préfet limogé, sont entièrement responsables de cette situation désastreuse.

Seul le Front national propose depuis des années les mesures, qui s’attaquent non seulement aux effets de la criminalité, mais à ses causes : immigration invasive, naturalisations abusives, laxisme pénal, non-expulsion des délinquants étrangers, décadence scolaire, etc. La situation est grave. Il est temps de les appliquer.

Bruno Gollnisch: « Le discours de Marine est assez flou »

Bruno Gollnisch répond à Profession Politique :

Bruno Gollnisch drapeau françaisVotre déficit de notoriété ne vous fait-il pas craindre que la partie soit déjà jouée pour la présidence du parti, renouvelée en janvier prochain ?

La partie n’est pas du tout jouée. Je connais bien ce mouvement, je suis bien connu des militants, des adhérents et contrairement à ce qu’on dit, je suis bon orateur. J’ai d’ailleurs proposé qu’on puisse débattre avec Marine, mais elle n’a pas accepté. Je constate aussi qu’il y a une disproportion dans les audiences médiatiques, qui peut avoir une incidence. Je m’interroge d’ailleurs : alors que je passais régulièrement dans les médias audiovisuels, le robinet s’est étrangement arrêté au lendemain de la campagne de 2002. Mais je suis prêt à m’incliner devant le résultat si je ne gagne pas. J’attendrai la même chose de mon adversaire si je gagne.

En quoi seriez-vous mieux placé qu’elle pour prendre les rênes du parti ?

Je suis dans une stratégie de rassemblement. Beaucoup de gens ont quitté le parti en lui imputant, à tort ou à raison, des pratiques inacceptables ou un déficit théorique. J’offre une possibilité de rapprochement avec des souverainistes du Mouvement pour la France (MPF) et d’autres courants politiques orphelins, même si, pour l’instant, aucun engagement n’a été pris. J’ai aussi des idées pour changer le parti en interne. Je souhaite rééquilibrer le budget du mouvement au profit des instances locales. Et puis je crois que j’ai une audience internationale, un corps de doctrine qui tient la route. Même si nous avons beaucoup d’idées en commun avec Marine, son discours est assez flou.

Cela vous agace-t-il qu’elle véhicule une image plus moderne ?

Je crois que la modernité n’est fiable que lorsqu’elle est enracinée dans la tradition. Et contrairement à ce qu’on peut croire, beaucoup de jeunes sont en ma faveur. Après, il est vrai que je m’éloigne peut-être un peu d’elle sur la destruction méthodique de l’institution familiale, qui pour moi a des effets ravageurs. Quant à la devise « Liberté, Égalité, Fraternité », j’y suis moins attachée que Marine. C’est une devise qui pourrait s’appliquer à n’importe quel pays. Tout cela n’est pas créateur de valeurs. J’adhère à une définition plus charnelle de l’identité française.

Le soutien officiel apporté par Jean-Marie Le Pen à sa fille vous a-t-il déçu ?

Il a le droit d’exprimer une préférence. J’ai été un peu blessé qu’il ne m’en parle pas avant de s’exprimer dans la presse. Les grands hommes sont généralement ingrats et Jean-Marie Le Pen est un grand homme… Ceci étant, nous avons des contacts tout à fait cordiaux. Il sera d’ailleurs du voyage que j’organise au Japon très prochainement. Qui plus est, je ne suis pas sûr que l’appui de Jean-Marie Le Pen dont bénéficie Marine ait un effet décisif. Son émergence s’est faite sur le thème de la rénovation et de la distanciation par rapport à son père. Cet adoubement vient réduire tout cela à peu de choses.

Jean

Intervention complète de Bruno Gollnisch à l’UDT de Renaissance Catholique


Bruno Gollnisch – XIXe U d’été de Renaissance Catholique
envoyé par Agence2Presse. – L’info video en direct.

Jean

L’apéritif toulonnais au cochon: un succès!

« La mer n’est pas loin. Elle est juste derrière moi. Pour ceux qui ne sont pas contents, une bonne barque, des rames et retour au pays ! »

Ce vendredi 16 juillet 2010, malgré les interdictions tombées dans d’autres villes françaises depuis quelques semaines, les patriotes toulonnais étaient massivement présents sur le carré du port de Toulon pour souligner, par cette action symbolique, la volonté farouche de défendre le caractère culturel fort de nos habitudes culinaires et festives.

La centaine de participants présents n’oubliera pas de si tôt ce franc moment d’amitié française et d’insoumission au système… La presse et la Licra (présente derrière la police) non plus!

http://www.varmatin.com/article/actualites/ambiance-tendue-a-l’apero-«-saucisson-pinard-»

Amaury, JAG Provence