Communiqué de Bruno GOLLNISCH
Lundi encore à Grenoble, 30 voitures ont été incendiées. Un dépôt d’armes de guerre a été découvert dans le sous-sol d’un bar grenoblois.
On apprend que les policiers de la brigade anti-criminalité sont fichés, menacés de mort avec leurs familles, pour venger le braqueur Karim Boudouda. L’intimidation fonctionne. Plusieurs de ces policiers censés eux-mêmes protéger les citoyens français ont été priés de « se mettre au vert » par leur hiérarchie. On envoie des renforts. Qui protègera ensuite les renforts ? Les parachutistes ? Les blindés ?
Ces évènements sont d’évidence les prémices d’une guerre intérieure révolutionnaire telle que les Français l’ont déjà subie en Algérie : guerre contre la France et l’État, contre les Français et leurs biens. Si « une politique se mesure aux résultats », force est de constater que celle des autorités françaises au pouvoir depuis des décennies est un échec cuisant. Elles seules, et non le préfet limogé, sont entièrement responsables de cette situation désastreuse.
Seul le Front national propose depuis des années les mesures, qui s’attaquent non seulement aux effets de la criminalité, mais à ses causes : immigration invasive, naturalisations abusives, laxisme pénal, non-expulsion des délinquants étrangers, décadence scolaire, etc. La situation est grave. Il est temps de les appliquer.