Jean
Auteur/autrice : Jean
Maître Ghislain DUBOIS, avocat au Barreau de Liège, soutient Bruno GOLLNISCH
Je connais Bruno GOLLNISCH depuis plus de vingt ans, alors que je terminais mes études de droit, et une amitié s’est vite nouée entre nous. Amitié qui a débouché sur des liens familiaux puisque le fils de Bruno est le parrain de l’un de mes six enfants.
J’ai également assisté Bruno comme avocat dans différents dossiers, notamment pour la défense de ses droits face au Parlement européen, dans le cadre de la défense de son immunité parlementaire. Procédure devant la Cour de justice des Communautés Européennes qui nous a d’ailleurs donné raison.
Bruno est dans la vie privée comme dans la vie politique, un homme de coeur, un homme raisonnable et à l’esprit vif. Un chêne contre lequel on peut s’appuyer.
La France et l’Europe des peuples libres et amis s’enorgueilliraient de le compter parmi leurs dirigeants, parmi les hommes qui comptent.
Face aux vents et tornades qui grondent sur notre vieux continent, il faut un bon capitaine pour tenir la barre et regarder au large, droit devant lui, pour mener le navire à bon port. L’officier supérieur de la Royale qu’il est, en sus de l’homme aux qualités que je viens de dire, est assurément celui-là.
Ghislain Dubois,
Avocat au Barreau de Liège
Bruno Gollnisch veut réconcilier la famille nationale
FRONT NATIONAL
Paris, le 18 novembre 2010
COMMUNIQUE DE PRESSE
Bruno GOLLNISCH,
Député européen
Vice-Président du Front National
Candidat à la succession de Jean-Marie Le Pen
Je découvre avec un certain étonnement qu’une prise de position de principe de ma part, n’excluant pas une réconciliation future avec certains de ceux qui ont quitté le Front National, susciterait des protestations, des leçons de morale, ou des admonestations déplacées.
Que les choses soient claires : je n ai évoqué aucun cas particulier. Je n’ai de contact avec aucun de ceux qui ont quitté le FN dans la région PACA, et notamment pas avec M. Jacques Bompard depuis plusieurs années. J’ignore même si ceux qui sont partis souhaiteraient revenir. Je me borne en revanche mais de façon ferme et résolue à évoquer de possibles réconciliations futures.
Avec qui ? Ce sera à examiner.
Selon quelles modalités ? Selon celles qui ont cours dans nos instances légitimes.
En un mot comme en cent : n’ayant aucun gage à donner quant à mon indéfectible loyauté envers le Front National, je continue à faire miens les propos de Jean-Marie Le Pen recevant chez lui Bruno Mégret en 2007 : « les Hommes d’Etat ne doivent pas conserver le souvenir des offenses passées dès lors qu’il y va de l’intérêt supérieur de la Patrie ».
Ceux qui s’offusquent de cette volonté de réconciliation ne me paraissent pas toujours
les mieux placés pour le faire ayant souvent eux-mêmes bénéficié d’une telle mansuétude.