Emission mouvementée sur RMC

Bruno Gollnisch était ce matin l’invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC: à écouter jusqu’au bout.

A propos de l’actualité des roms, Bruno Gollnisch s’en prend à l’attitude de certains clercs:

« Je suis un peu irrité par ce genre de discours de certains clercs. Je voudrais qu’ils me disent de façon parfaitement limpide: est-ce que la France a le devoir d’ouvrir ses frontières à tous ceux qui veulent s’y installer? Oui ou non? Est-ce que c’est une obligation morale pour un dirigeant que de laisser les frontières ouvertes au détriment de ses propres ressortissants, et notamment des plus pauvres et des plus marginaux? »

« Le pape n’engage pas son infaillibilité sur ces sujets. (…) Je pense que les roms pourraient peut être s’installer place Saint Pierre de Rome. Et puis on en reparlera… »

Jean

Intervention de Bruno Gollnisch sur RFI

Bruno Gollnisch était hier l’invité de RFI. Voici quelques extraits de son interview, suivis de l’intégralité audio de l’émission:

« Il faut que la France retrouve la maîtrise de son territoire, la maîtrise de ses frontières« .

« Je respecte beaucoup la personne du pape dont les avertissements, notamment contre la culture de mort, ne sont jamais pris en compte. (…) Mais je voudrais quand même poser une question: est-ce que la France a moralement l’obligation d’accepter sur son territoire tous les étrangers qui veulent y venir? Autrement dit, et ce serait la première fois dans l’histoire de l’humanité, est-ce que le peuple français est obligé moralement d’accepter son invasion, oui ou non? »

« Nous voyons bien quels sont les ravages à l’heure actuelle de l’immigration, sur le plan économique, sur le plan social, sur le plan démographique: est-ce que nous sommes obligé de continuer, comme l’avait dit Monsieur Rocard lui-même, à recueillir toute la misère du monde? Ce qui est impossible et qui ne fera qu’aggraver la misère des français, dont on ne parle pas. »

« Ce qu’il faudrait, c’est modifier le code de la nationalité de façon ferme, juste, digne, comme c’est le cas dans de nombreux pays du monde dont le Japon dont je reviens, mais aussi les Etats-Unis, mais aussi la Suisse. C’est-à-dire faire en sorte que la nationalité française s’hérite, on la reçoit de ses parents, ou se mérite, c’est-à-dire par une naturalisation de gens qui se sont montrés digne de l’acquérir. »

Emission à écouter dans son intégralité (cliquez sur la première à gauche des quatres petites icônes)

Jean

Bruno Gollnisch répond à France Soir

Cet après-midi du 9 août, le numéro 2 du Front National répondait à Sébastien Tronche, journaliste à France Soir, pour la rubrique L’été des politiques:

FranceSoir.fr. Vous êtes plutôt mer, campagne ou montagne ?
Bruno Gollnisch. Je suis plutôt campagne. Surtout ma campagne, dans les monts du Lyonnais, une merveille.

Où êtes-vous partie l’été dernier ? Où partez-vous cet été ?
L’été dernier, je suis parti à Hyères, chez ma mère, mais aussi dans ma campagne, justement. En revanche, cette année, je vais au Japon.

Quel est votre meilleur souvenir de vacances ? ?
Mon meilleure souvenir de vacances reste la première fois, en vacances de neige, que je suis arrivé en bas de la pente sans me casser la figure.

Vous êtes plutôt transat’ ou randonnée ?
Transat, résolument. Mais jardinage, tout de même !

Vous continuez à travailler pendant vos vacances ? ?
Hélas, oui !

Avec quelle personnalité politique partiriez-vous en vacances ? ?
Je suis déjà parti avec Le Pen, son épouse et la mienne. Je partirais bien avec Jean-Luc Mélenchon (pour le convertir !).

Quels livres, DVD, musiques avez-vous prévu d’emporter dans vos bagages ? ?
En musique, j’ai prévu d’emporter les Chœurs liturgiques russes et du fado portugais. En livres, j’ai choisi « Brève histoire de l’avenir », de Jacques Attali, un livre intelligent qui décrit tout ce que je veux éviter. Je prendrai également « Grandeur du christianisme » d’André Gandillon.

Jean

Bruno Gollnisch répond à l’Action Française

Bruno Gollnisch répond à une interview dans le numéro du mois d’Août du journal de l’AF.

Extraits:

« Pour moi, la France est une réalité charnelle, culturelle, spirituelle, et n’a certes pas commencé en 1789, même si la Révolution fait partie de notre histoire. »

« Dans cette réalité [française], l’élément le plus menacé, c’est la substance démographique, autant dire notre peuple lui-même. Il faut non seulement inverser le courant de l’immigration massive de peuplement, mais il faut aussi une politique hardie d’accueil de la vie et de la famille. »

« Il est nécessaire de montrer que notre nationalisme est compatible avec des valeurs universelles ; il ne procède ni du racisme que nos adversaires prétendent, ni d’une quelconque xénophobie. Défendant notre identité, nous défendons aussi implicitement celle des autres peuples. »

« Sur le plan international, je veux nous affranchir de la tutelle américaine, et renouer avec des alliances conformes à notre tradition nationale… »

« Je suis pour un élargissement systématique de notre mouvement. Je pense qu’il est des mouvances qui sont aujourd’hui orphelines, comme par exemple les souverainistes de droite qui ont suivi Philippe de Villiers ou les souverainistes de gauche qui ont suivi Jean-Pierre Chevènement. Nous devons systématiquement élargir notre base. »

Jean