Discours de Bruno Gollnisch à Bayeux – 3ème et dernière partie

« Vous n’avez pas à avoir honte d’être au Front National. Le Front National est un modèle pour beaucoup de nations, beaucoup de pays, beaucoup de patriotes à travers le monde. » (Bruno Gollnisch)

« Il n’y a place en France que pour un seul mouvement national. C’est ce mouvement national que j’aspire à réunir et à rassembler. (…) Je suis candidat à la succession de Jean-Marie le Pen. Je crois avoir pour cela un certain nombre d’aptitudes. » (Bruno Gollnisch)

Jean

Discours de Bruno Gollnisch à Bayeux – 2ème partie

« La première des qualités politiques, c’est la persévérance » (Bruno Gollnisch)

« Il y a une décandance démographique car nous n’avons pas su ou pas voulu accueillir la vie.  A force de ne plus avoir fait d’enfants, il n’y a plus personne pour payer les retraites. » (Bruno Gollnisch)

Jean

Discours de Bruno Gollnisch à Bayeux – 1ère partie: réponses aux questions

Bruno Gollnisch rappelle magnifiquement la nécessité de défendre les valeurs traditionnelles:

– sur la famille: « Je suis attaché aux valeurs de la famille traditionnelle. (…) Je pense que la désagrégation de la famille est l’un des facteurs de la désagrégation de la société. »

– sur la civilisation: « La civilisation française, ce n’est pas seulement les valeurs républicaines dont on nous rebat les oreilles. (…) La France n’est pas une nation qui se définit simplement par les valeurs républicaines. (…) Il y a une civilisation française qui est une civilisation charnelle, dont l’acte fondateur (…) est une alliance réalisée par le baptême de Clovis à Reims. »

Jean

« Moi je n’ai pas du tout besoin, pour faire valoir ma candidature, d’attaquer celle de Marine »

Bruno Gollnisch était invité hier à 8h30 sur Radio Classique :

« Je comparerais le Président de la République au Sapeur Camembert. (…) Il y a un trou dans la cours de la caserne et l’adjudant demande au Sapeur Camember de combler ce trou. Alors le Sapeur Camembert s’y emploie avec beaucoup de courage mais on s’aperçoit que pour boucher le trou il en a creusé un autre à coté. C’est un peu ce qu’on fait pour boucher le trou de la Grèce, on a encore élargi le nôtre, cela durera autant que les agences de notation, ce qui est assez extraordinaire c’est que maintenant le crédit des Etats dépend d’agences de notation. C’est une mondialisation que je condamne. Nous sommes en train d’assumer le lègue de politiques désastreuses. On parle de crise mondiale, la crise n’est pas mondiale, il n’y a pas de crise en Chine, en Inde ou aux Etats-Unis. Les Etats-Unis ont un déficit aussi abyssal, et même davantage que le nôtre, mais ils arrivent à placer leurs dollars sur toutes les places du monde y compris la Chine qui leur en achète par centaine de milliards. Nous n’avons pas réussi à faire cela avec l’euro, c’était prévisible. Nous sommes en train, pour éviter que tout s’effondre comme un château de cartes, de combler le trou d’un certain nombre de pays comme la Grèce, demain le Portugal, l’Espagne… L’euro est la couverture d’économies chancelantes du fait des délocalisations. »

Marie