Présidence du FN : à qui revient la décision?

Communiqué de Bruno Gollnisch

PRESIDENCE DU FN : A QUI REVIENT LA DECISION ?

Ce samedi 11 décembre à 0h, est la date de clôture des adhésions permettant de participer à la désignation du nouveau président du Front National.

L’offensive anti-Gollnisch elle, se poursuit de plus belle ! Cela est flagrant dans
le cadre de cette campagne, notamment sur la chaîne de télévision d’Etat France 2, où je suis singulièrement boycotté, et sur la radio d’Etat France Inter où j’étais jeudi matin purement et simplement insulté… en mon absence bien sûr.

J’invite aujourd’hui les milliers d’adhérents du Front National, qui ont prouvé dans le passé leur sens critique, leur capacité de résistance aux mots d’ordre des faiseurs d’opinion, à ne pas se laisser intoxiquer ni instrumentaliser.

La désignation du successeur de Jean-Marie Le Pen est de leur seul ressort, n’en déplaise à Mme Arlette Chabot, à M.Thomas Legrand et à quelques autres, qui, contrairement à d’autres de leurs confrères, paraissent confondre le service du public avec celui de leurs préférences, qu’elles soient personnelles ou commandées.

Oui ma candidature est légitime. Oui, elle est appuyée par des personnalités, des cadres, des élus, des militants exemplaires du Front National. Oui, mes chances de l’emporter dans cette compétition par ailleurs correcte sont très grandes, pour peu que la partialité médiatique ne vienne pas interférer sur son résultat.

Jacques Colombier : « Avec Bruno Gollnisch ! Ne nous trompons pas d’élection… »

35 ans de militantisme aux côtés de l’homme exceptionnel qu’est Jean Marie LE PEN m’ont appris que le courage, la lucidité, l’endurance et l’amour indéfectible pour notre patrie pouvaient renverser le cours de l’histoire politique.

Ces qualités indispensables Bruno GOLLNISCH les possèdent.

Jean Marie LE PEN ne s’y est pas trompé, le jugeant à plusieurs reprises, apte en cas d’empêchement à assurer la tâche écrasante de présider le Front National sur lequel repose l’espoir de millions de nos compatriotes.
La force tranquille n’était avec F.MITTERAND qu’une formule au service d’un socialiste habité par sa propre ambition. La force tranquille de Bruno GOLLNISCH est réelle au service d’une seule ambition, celle de servir les français comme l’ont prouvé ses années de fidélité et de combat derrière Jean Marie LE PEN.

Bruno GOLLNISCH a l’étoffe des grands dirigeants politiques.
Son souci de rassembler la famille nationale découle d’une vision cohérente et de bon sens.
Aussi est-ce lui faire un mauvais procès que de voir dans cette démarche une faute ou une faiblesse.

Roger HOLEINDRE, Premier Vice-président, l’a très bien compris précisant qu’il n’était pas choqué par « ses appels à la réconciliation des patriotes, pourvu que ce soit dans un cadre précis et dans le respect d’une discipline nécessaire à notre dur combat ».

On rassemble d’abord son camp. Uni il n’en est que plus efficace et combatif évitant le piège mortel des discordes et de l’éparpillement qui fait le jeu de nos adversaires. Puis ce rassemblement doit s’étendre à tous les patriotes trompés depuis des années par des politiciens souverainistes de façade assurant à chaque élection la victoire de l’UMPS.
Enfin, naturellement on s’adresse à tous les français, appauvris et matraqués par le mondialisme.

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