Violence faites aux femmes : quand les coutumes étrangères deviennent plus fortes que les lois françaises

FRONT NATIONAL

Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
Paris, le 6 octobre 2010

Violence faites aux femmes :
Quand les coutumes étrangères deviennent plus fortes que les lois françaises

Décidément La cité du Mâle (reportage sur la situation dégradée des jeunes femmes dans certaines cités) n’en finit plus de créer la polémique. Abordant un sujet délicat : celui du machisme des jeunes des cités, il a été tourné à Vitry-sur-Seine en bas des tours du quartier où, en 2002, Sohane Benziane, a été assassinée, brûlée vive. Après une première déprogrammation début septembre (la cité du mâle exercerait-elle sa loi jusque dans le bureau du directeur d’Arte ?) il est finalement diffusé jeudi dernier. J’apprends maintenant que c’est au tour des membres de la maison de production d’être menacée de mort par les gamins filmés qui se sont rendus au siège de Doc en Stock pour y lancer : « on va vous brûler, on reviendra et on vous brûlera tous » *.

Ce refrain n’est pas nouveau. Ils ont brûlé Chahrazad, tué Sohane, étranglé Fatima. Ces meurtriers sont en général des proches, souvent des frères, gardiens de la virginité des filles et des sœurs. Au fond, dans les cités, il n’y aurait que deux façons d’être une femme : ou voilée, ou violée.

Le décalage des civilisations apparaît crûment dans le reportage. Ces gamins qui se réclament de l’Islam et qui tiennent les murs sont peut être minoritaires mais ce sont eux qui font l’ambiance de la cité pendant que les autres sont à l’école, à la fac, au boulot. Ce sont eux qui parlent le plus fort, eux qui insultent les filles. Ils sont la minorité violente qui impose sa vision des choses à toute une communauté, où s’opère une sorte d’assimilation à l’envers : soit des nôtres ou tu seras notre ennemi.

Au Front National nous osons dire que la montée des violences faites aux femmes est concomitante avec l’arrivée en masse d’une immigration extra-européenne dont la culture, les traditions sont absolument contraire aux nôtres.

* le parisien 5 octobre 2010