Marine le Pen – Bruno Gollnisch : les dessous d’un article

COMMUNIQUE DE PRESSE DE BRUNO GOLLNISCH,
Député français au parlement européen
Vice Président exécutif du Front National

Marine Le Pen – Bruno Gollnisch : les dessous d’un article

Le Figaro Magazine publie ce jour un article intitulé « Marine Le Pen – Bruno Gollnisch : les dessous d’un duel », sous la signature de M. Raphaël Stainville.
Cet article me prête arbitrairement des sentiments qui ne sont pas les miens.
Il travestit mes intentions.
Il comporte de nombreuses inexactitudes factuelles.
Il pèche par plusieurs omissions délibérées.
Il ne fait pas honneur aux qualités professionnelles de son auteur.

Près de 500 lyonnais avec Gollnisch !

Il fallait ce jeudi soir (16 décembre 2010) braver le froid, le neige, la grève des transports en commun (que sais-je encore ?!), pour venir écouter et entourer Bruno GOLLNISCH sur « ses terres » lyonnaises.

Un Bruno GOLLNISCH toujours aussi extraordinairement en forme, alliant humour et force de persuasion, pour donner à son auditoire attentif et passionné de nouvelles raisons (s’il en était besoin) de le justifier comme digne successeur de Jean-Marie LE PEN.

Christophe BOUDOT débuta la soirée par de bons mots à destination de son prédécesseur au poste de secrétaire départemental de la fédération du Rhône. Il plaça les qualités de Bruno comme première nécessité pour la tâche qu’il s’apprête à accomplir si demain nos adhérents lui font cette confiance de l’élire président du mouvement.

Thibault de la Tocquenay fut quand à lui prompt a rappeler la solidité de l’homme GOLLNISCH, son rôle premier dans la production d’écrits ou de projets de réformes contenus depuis des années dans le programme du Front : avec GOLLNISCH, le redressement de la France est possible : cet homme sait ce qui est nécessaire ; derrière lui, nous souhaitons pousser notre pays à la renaissance !

Prenant la parole après ces deux amis, le vice-président du Front régala comme à son habitude les plus courageux de ces partisans. Résolument candidat de l’anti-systême, ce que GOLLNISCH a clamé comme une fierté, capable de diriger la famille nationale par ce qu’il a prouvé par le passé et par son projet de gestion interne du mouvement, notre candidat a ravivé une nouvelle fois la flamme de l’espoir dans le cœur des Lyonnais.

La victoire est à portée de main. Nous croyons dans cette chance historique de victoire de nos idées, et nous confirmons notre volonté d’y être emmené par Bruno !

Amaury Navarranne

Pierre Cheynet : « Avec Bruno Gollnisch, pour un Front rassemblé, anticonformiste, et décentralisé »

L’heure du choix est arrivée pour les adhérents du Front, qui vont devoir désigner un successeur à Jean-Marie LE PEN. Pour que ce choix ne soit pas l’expression de préférences superficielles éloignées de ce qui fait la réelle valeur d’un président, il est nécessaire de procéder à l’examen attentif du parcours, de la stratégie et du projet de chacun des deux candidats par-delà les différences de style ou de caractère, d’autant plus difficiles à mesurer que Marine LE PEN et Bruno GOLLNISCH ont l’un et l’autre de très grandes qualités.

C’est après m’être livré à cet exercice minutieux que j’ai choisi de parrainer et de soutenir Bruno, certainement pas contre sa concurrente mais au contraire dans un souci d’unité et de rassemblement de notre famille politique, afin d’éviter les écueils de la dissension et de la dissidence qui nous ont tant nui par le passé. Cet impératif constant chez lui depuis qu’il s’est engagé au Front, lui donne une grande légitimité pour briguer la présidence de notre mouvement.

D’abord parce que Bruno GOLLNISCH refuse de toutes ses forces la division. Il a tenu bon, avec Jean-Marie LE PEN, lors de la terrible scission de Décembre 1998, malgré le départ d’un grand nombre de cadres et d’élus aveuglés par des promesses de respectabilité et de pouvoir qui les ont conduits au néant. De cette difficulté, il a tiré un enseignement politique majeur : pour pouvoir un jour rassembler les Français, il faut d’abord rassembler les patriotes, sans chercher à opposer les uns aux autres, car la France aura besoin de tous pour se relever. Sa stature et ses talents de diplomate s’avèreront précieux pour concilier les caractères et les sensibilités les plus diverses de notre mouvement, qu’il souhaite diriger d’une manière plus collégiale en cultivant une grande proximité à l’égard des militants. Le partage équitable et efficace des rôles qu’il propose d’ores et déjà à Marine LE PEN dans l’hypothèse de son élection illustre en tous cas la sincérité et la profondeur de sa démarche.

Ensuite parce que Bruno GOLLNISCH a le sens des priorités. Ses 25 années passées au service du Front National lui ont appris à résister aux sirènes du politiquement correct qui pourraient nous incliner parfois à baisser la garde devant les difficultés et l’ingratitude de la vie de militant. Pour lui, la dédiabolisation réside plus dans la clarté de nos propositions et la crédibilité de notre programme que dans toute forme de communication politique, même si celle-ci n’est évidemment pas à négliger. Jean-Marie LE PEN l’a prouvé tout au long de sa vie : l’essentiel n’est pas de plaire à tous mais de dire la vérité, c’est la raison pour laquelle nous devons être fiers de défendre les valeurs traditionnelles, à l’heure où le gouvernement les méprise au point de priver la famille de ministère…

Enfin, Bruno GOLLNISCH veut rapprocher le Front National des Français en décentralisant son action. Continuer la lecture de « Pierre Cheynet : « Avec Bruno Gollnisch, pour un Front rassemblé, anticonformiste, et décentralisé » »

Présidence du FN : à qui revient la décision?

Communiqué de Bruno Gollnisch

PRESIDENCE DU FN : A QUI REVIENT LA DECISION ?

Ce samedi 11 décembre à 0h, est la date de clôture des adhésions permettant de participer à la désignation du nouveau président du Front National.

L’offensive anti-Gollnisch elle, se poursuit de plus belle ! Cela est flagrant dans
le cadre de cette campagne, notamment sur la chaîne de télévision d’Etat France 2, où je suis singulièrement boycotté, et sur la radio d’Etat France Inter où j’étais jeudi matin purement et simplement insulté… en mon absence bien sûr.

J’invite aujourd’hui les milliers d’adhérents du Front National, qui ont prouvé dans le passé leur sens critique, leur capacité de résistance aux mots d’ordre des faiseurs d’opinion, à ne pas se laisser intoxiquer ni instrumentaliser.

La désignation du successeur de Jean-Marie Le Pen est de leur seul ressort, n’en déplaise à Mme Arlette Chabot, à M.Thomas Legrand et à quelques autres, qui, contrairement à d’autres de leurs confrères, paraissent confondre le service du public avec celui de leurs préférences, qu’elles soient personnelles ou commandées.

Oui ma candidature est légitime. Oui, elle est appuyée par des personnalités, des cadres, des élus, des militants exemplaires du Front National. Oui, mes chances de l’emporter dans cette compétition par ailleurs correcte sont très grandes, pour peu que la partialité médiatique ne vienne pas interférer sur son résultat.