Le regard critique du militant frontiste (1/2)

L’élection de Bruno Gollnisch serait-t-elle un désaveu pour le président ? C’est en tout cas ce que semble affirmer Jean-Marie le Pen au journal Le Progrès en date du 17 décembre.

Disons le immédiatement : nous maintenons intactes la gratitude et l’affection que nous portons au président, pour le combat qu’il a longtemps mené et pour ce qu’il représente dans l’opinion. Mais nous voulons également conserver intègre notre discernement: nous ne suivons des hommes qu’à cause de ce qu’ils incarnent un idéal et portent nos espoirs. Cependant l’idéal subsiste, pas l’homme. Aussi croyons-nous faire honneur à Jean-Marie le Pen en ne le suivant pas dans chacun de ses choix partisans. Car c’est porter davantage de crédit à la bataille politique qu’il mène par ailleurs et dans laquelle, librement, nous le suivons avec enthousiasme.

Que dire alors de ceux qui vouent au chef un culte aveugle qui les prive de tout jugement ? Rappelons d’ailleurs que Jean-Marie le Pen n’a jamais demandé à Bruno Gollnisch de se retirer de la compétition : en soutenant sa fille, il assume un choix personnel qui n’engage pas les adhérents, lesquels sont invités à s’exprimer comme des grands ! Le culte du chef poussé jusqu’à l’absurde, qui vous commande d’agir sans intelligence, en adoptant finalement une démarche irrationnelle, voilà une caractéristique de l’extrême droite que certains, dans l’entourage de Marine le Pen, semblent incarner à merveille! Nous invitons donc les adhérents à prendre le recul et la distance nécessaire afin de préserver un regard critique dans le cadre de cette campagne.

Il  est vrai que nous nous inquiétons lorsque le président semble prendre en otage les adhérents en indiquant qu’il prendrait pour un désaveu personnel l’élection de Bruno Gollnisch. Un tel chantage nous paraît d’ailleurs ahurissant et parfaitement déplacé dans le cadre d’une compétition que le président avait lui-même voulue loyale et dans laquelle, s’étant verbalement érigé en arbitre lors du dernier Conseil National, il eut été souhaitable qu’il ne fut pas tout à la fois juge et partie. Nous préférons croire néanmoins que les journalistes ont encore interprété mal intentionnellement ses paroles et que l’exercice d’une telle pression sur le choix des militants reste étranger à la pensée du président…

A suivre…

Edouard

Près de 500 lyonnais avec Gollnisch !

Il fallait ce jeudi soir (16 décembre 2010) braver le froid, le neige, la grève des transports en commun (que sais-je encore ?!), pour venir écouter et entourer Bruno GOLLNISCH sur « ses terres » lyonnaises.

Un Bruno GOLLNISCH toujours aussi extraordinairement en forme, alliant humour et force de persuasion, pour donner à son auditoire attentif et passionné de nouvelles raisons (s’il en était besoin) de le justifier comme digne successeur de Jean-Marie LE PEN.

Christophe BOUDOT débuta la soirée par de bons mots à destination de son prédécesseur au poste de secrétaire départemental de la fédération du Rhône. Il plaça les qualités de Bruno comme première nécessité pour la tâche qu’il s’apprête à accomplir si demain nos adhérents lui font cette confiance de l’élire président du mouvement.

Thibault de la Tocquenay fut quand à lui prompt a rappeler la solidité de l’homme GOLLNISCH, son rôle premier dans la production d’écrits ou de projets de réformes contenus depuis des années dans le programme du Front : avec GOLLNISCH, le redressement de la France est possible : cet homme sait ce qui est nécessaire ; derrière lui, nous souhaitons pousser notre pays à la renaissance !

Prenant la parole après ces deux amis, le vice-président du Front régala comme à son habitude les plus courageux de ces partisans. Résolument candidat de l’anti-systême, ce que GOLLNISCH a clamé comme une fierté, capable de diriger la famille nationale par ce qu’il a prouvé par le passé et par son projet de gestion interne du mouvement, notre candidat a ravivé une nouvelle fois la flamme de l’espoir dans le cœur des Lyonnais.

La victoire est à portée de main. Nous croyons dans cette chance historique de victoire de nos idées, et nous confirmons notre volonté d’y être emmené par Bruno !

Amaury Navarranne

L’avenir appartient…

Les JAG de Provence n’ont pas chômé ces derniers jours.

Alors que le FNJ a récemment été officiellement confisqué -confiscation révélée par la mise en ligne, sur le site du FNJ, d’un article partisan écrit par un soutien de Marine le Pen, Louis Aliot, lequel remettait en cause la stratégie unitaire de Bruno Gollnisch- les jeunes, orphelins de ce mouvement de jeunesse, réagissent en nombre et rejoignent les JAG afin d’apporter leur soutien à Bruno Gollnisch au sein d’une structure qui ne trompe pas, quant à elle, sur la marchandise.

Merci aux jeunes de Provence pour leur investissement  dans cette campagne. Les photos que nous mettons en ligne ont été prises lors du dernier collage qui a eu lieu dans le Vaucluse. Une activité militante qui a réunit de nouveaux adhérents, lesquels, sous la direction de leurs aînés, ont contribué à donner une visibilité au combat qu’ils ont rejoint. Pour que vive le Front National !

Jean