La France a besoin d’un capitaine

Si de plus en plus de plus de jeunes rejoignent les rangs des J.A.G, c’est qu’ils sont conscients de l’enjeu de la campagne interne qui se termine dans un peu plus d’un mois maintenant. C’est le cas en Aquitaine et notamment à Bordeaux où nous ne pouvons que constater l’engouement des adhérents derrière Bruno Gollnisch que nous considérons tous comme le successeur légitime de Jean-Marie Le PEN, tant par sa vision de la politique française que par son charisme, son courage face aux attaques du politiquement correct et sa détermination dans la cause nationale qu’il défend depuis plus de 30 ans.

Plus que jamais, à l’heure où tout va mal, le Monde a besoin de la France, et la France a besoin d’un capitaine qui sache la redresser, la guider et lui redonner sa suprématie d’antant à l’échelle européenne et mondiale. Bruno Gollnisch, en tant que docteur en droit et vice président du FN depuis 16 ans connait parfaitement les failles de la politique intérieure des gouvernements UMPS qui se sont succédés ; en temps qu’avocat à l’échelle international et polyglotte, il maitrise la politique étrangère à mettre en place pour continuer les échanges internationaux avec les grandes puissances mondiales tout en résolvant les problèmes causés par une politique immigrationiste inconsciente, en partie responsable des désastres économiques, financiers, démographiques et politiques que subit la France aujourd’hui ; en tant que plus jeune doyen de faculté de France et professeur de droit à Lyon, il connait et comprend la jeunesse de France qui peine à rentrer dans la vie active après parfois de longues études couteuses.

C’est pourquoi nous n’hésitons pas à soutenir sa campagne interne pour la présidence du Front National qui doit être l’occasion de redonner au mouvement un chef qui soit un chef, qui sache rassembler et unifier son mouvement autour des valeurs sociétales et politiques que nous défendons tous, qui sache enfin faire preuve de détermination et de courage pour convaincre peu à peu, malgré les attaques que subit le parti, l’ensemble des français à rejoindre notre cause qui est celle de la France.

Ce vendredi 26 novembre, nous étions donc 5 militants a allé coller en périphérie et dans le centre de Bordeaux une soixantaine d’affiches afin de faire prendre conscience aux sympathisants du Front National que le congrès historique des 15 et 16 janvier prochains doit être l’occasion pour eux d’adhérer massivement et de faire entendre leur voix afin que le Front National continue dans la lignée tracée par Jean-Marie Le Pen qui a su l’amener en 30 ans à la première place de la scène politique française.

Les derniers jours de campagne sont comptés, mobilisons nous donc plus que jamais.
Vive le Front National, Vive Bruno Gollnisch !

Gonzague MALHERBE -JAG Bordeaux

Meeting de Bruno Gollnisch à Paris

Bruno Gollnisch,
Député français au parlement européen
Vice Président exécutif du Front National
Président du Groupe FN au Conseil Régional Rhône-Alpes
Candidat à la succession de Jean-Marie Le Pen

Sera en meeting à Paris le 7 décembre

Mardi 7 décembre :

• 18h30 : Conférence de presse
• 19h30 : Discours

Discothèque le Back Up
18 rue de la Croix Nivert
75015 Paris

Jean

Retour en Mayenne

Retour dans cette petite ville de la Mayenne, où les débordements de jeunes de banlieue scolarisés dans le nouvel établissement de réinsertion ont abouti à des expulsions.

Il mange de la brioche et boit du petit-lait. Ce jeudi matin, dans le salon cossu d’une maison prêtée par un particulier, Bruno Gollnisch ne cache pas sa satisfaction. Le vice-président du Front national, en campagne pour la désignation du candidat frontiste, a improvisé la veille une pause à Craon (prononcer Cran), 4700 habitants, petite ville sans histoires de la Mayenne. Du moins jusque-là. Le 9 novembre, une bagarre éclate au collège Volney. L’altercation a tout d’une Guerre des boutons version 2010, sauf qu’elle se déroule entre des élèves de Seine-Saint-Denis (« 9-3 ») placés dans le tout nouvel établissement de réinsertion scolaire (ERS) local et des collégiens du cru. Bilan : des injures, quelques baffes, des coups de pied et cinq exclusions. Les enseignants et les parents, déjà rétifs au projet, mettent en avant leur droit de retrait et retirent momentanément leurs enfants de l’établissement. Pour Bruno Gollnisch, l’occasion est trop belle de conclure à une « ratonnade anti-Blancs » et de dénoncer « la racaille subventionnée ». « Les gens de l’Ouest de la France vont enfin comprendre le FN et voir qu’eux aussi paient les conséquences de l’immigration ! » jubile-t-il.

La venue du n° 2 du FN et le dépôt d’affichettes provoc’ dans toutes les boîtes aux lettres de la ville ont surtout servi d’électrochoc aux Craonnais. Appuyé au comptoir du PMU, un habitant lâche du bout des lèvres: « Chez nous, il y a des méchants comme partout, mais nous ne sommes pas racistes ! » Le mot sonne comme une gifle. Ici, en pleine Mayenne angevine et catholique, on est fier de sa tradition d’accueil et de son ouverture d’esprit. « Le soleil brille pour tout le monde, ce ne sont que des gosses », soupire Bernadette, bénévole à la paroisse, en changeant les fleurs de l’église.

Le 11 novembre, le curé a prononcé quelques mots sur les « événements » dans son homélie, en appelant à la paix. Le maire insiste : « Dans mon conseil municipal, il y a autant d’élus de droite que de gauche. Nous avons une vraie tradition centriste », précise Paul Chaineau, élu depuis 1989, sans étiquette. Le tract du Front a selon lui « interpellé, choqué, refroidi, remué ». La ville se réveille avec la gueule de bois. Circulez, y a rien à voir…

Le choc des cultures était pourtant prévisible. Des gamins des cités du « 9-3 » dans un village du « 5-3 » (Mayenne), forcément, ça détonne. A Craon, on salue les gens que l’on croise, y compris les inconnus – qui ne le restent pas bien longtemps.

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