Yves de la Herverie : « Bruno Gollnisch sera le rassembleur de notre famille politique »

Ayant toujours eu une grande admiration pour Jean-Marie Le Pen et ayant adhéré au Front National en 1984, renouvelant chaque année mon adhésion depuis cette date, c’est sans états d’âme que j’apporte mon total soutien à Bruno Gollnisch dans cette compétition interne.

Il a pour moi toutes les qualités requises pour exercer la fonction de président du Front National. Son attachement au respect de la vie de la naissance à la mort me paraît des plus importants.

De plus, il sera le rassembleur de notre famille politique qui n’a que trop souffert des scissions successives.

Il a une solidité et une fidélité à nos idées qui ne se sont jamais démenties et il a soutenu Jean-Marie Le Pen contre vents et marées. Il a fait preuves à maintes reprises d’une abnégation remarquable !!

C’est donc bien Bruno Gollnisch qu’il nous faut !

YVES DE LA HERVERIE
Chef d’entreprise en retraite. Père de famille nombreuse
Trésorier de la fédération d’Ille et Vilaine pendant plus de 15 ans
Candidat à toutes les élections pendant 15 ans,
Décoré de la Flamme d’Honneur du Front National par Jean-Marie Le Pen

Jacques Colombier : « Avec Bruno Gollnisch ! Ne nous trompons pas d’élection… »

35 ans de militantisme aux côtés de l’homme exceptionnel qu’est Jean Marie LE PEN m’ont appris que le courage, la lucidité, l’endurance et l’amour indéfectible pour notre patrie pouvaient renverser le cours de l’histoire politique.

Ces qualités indispensables Bruno GOLLNISCH les possèdent.

Jean Marie LE PEN ne s’y est pas trompé, le jugeant à plusieurs reprises, apte en cas d’empêchement à assurer la tâche écrasante de présider le Front National sur lequel repose l’espoir de millions de nos compatriotes.
La force tranquille n’était avec F.MITTERAND qu’une formule au service d’un socialiste habité par sa propre ambition. La force tranquille de Bruno GOLLNISCH est réelle au service d’une seule ambition, celle de servir les français comme l’ont prouvé ses années de fidélité et de combat derrière Jean Marie LE PEN.

Bruno GOLLNISCH a l’étoffe des grands dirigeants politiques.
Son souci de rassembler la famille nationale découle d’une vision cohérente et de bon sens.
Aussi est-ce lui faire un mauvais procès que de voir dans cette démarche une faute ou une faiblesse.

Roger HOLEINDRE, Premier Vice-président, l’a très bien compris précisant qu’il n’était pas choqué par « ses appels à la réconciliation des patriotes, pourvu que ce soit dans un cadre précis et dans le respect d’une discipline nécessaire à notre dur combat ».

On rassemble d’abord son camp. Uni il n’en est que plus efficace et combatif évitant le piège mortel des discordes et de l’éparpillement qui fait le jeu de nos adversaires. Puis ce rassemblement doit s’étendre à tous les patriotes trompés depuis des années par des politiciens souverainistes de façade assurant à chaque élection la victoire de l’UMPS.
Enfin, naturellement on s’adresse à tous les français, appauvris et matraqués par le mondialisme.

Continuer la lecture de « Jacques Colombier : « Avec Bruno Gollnisch ! Ne nous trompons pas d’élection… » »

Monica Paternò di Sessa de Condé : « Pourquoi j’apporte mon soutien à Bruno Gollnisch »

Depuis notre retour d’Italie il y a trente ans, j’ai toujours suivi mon mari, Louis de Condé, dans son parcours à l’intérieur du Front national, qu’il avait rejoint en 1982 en adhérant directement dans les mains du président Jean-Marie Le Pen.

Je l’ai suivi dans toutes les circonstances, les bonnes et les mauvaises. Ayant manifesté, depuis mon plus jeune âge, mon intérêt pour l’activité politique, je suivais de très près la naissance et la progression d’un parti de droite nationale en France, dans le pays de mes enfants, et de son président qui enfin tenait tête au conformisme ambiant de tous les autres partis.

Pendant de nombreuses années, j’ai accepté d’animer dans l’Allier, le Cercle national des Femmes d’Europe, créé par Martine Lehideux. Dans ce contexte, qui me convenait très bien, j’ai organisé de nombreux débats dans le Bourbonnais, auxquels ont participé le Maire de Vichy, le Docteur Lacarin, et le Maire de Moulins, Hector Roland. C’était l’époque des premiers grands succès du Front National.

En Italie, mon pays, j’ai d’abord adhéré au MSI, dirigé par Giorgio Almirante. Le MSI s’est dissous et a donné naissance à Alleanza Nazionale (AN), dont je fis naturellement partie. J’en fus la représentante en France, du MSI puis de AN à travers les Comités Tricolores pour les Italiens dans le Monde (CTIM). J’ai beaucoup regretté la rupture intervenue entre le FN et AN : à plusieurs reprises, tant auprès de mes amis italiens que français, j’ai essayé d’expliquer les positions des uns et des autres, soumis à des situations politiques internes très différentes. Malheureusement la dérive vers le centre gauche de Gianfranco Fini, m’a poussé en 2006 à donner ma démission définitivement du parti italien.

Ainsi, j’ai œuvré pour le Front national, auquel j’ai adhéré depuis plusieurs années.

Dès 1985 j’ai fait la connaissance de Bruno Gollnisch, dont j’ai toujours apprécié la valeur intellectuelle, l’humour, le calme et la droiture morale. Ce qui était une amitié « politique » est devenu, au fil des ans, une amitié tout court. C’est ainsi que je lui apporte mon soutien dans cette compétition interne.

Continuer la lecture de « Monica Paternò di Sessa de Condé : « Pourquoi j’apporte mon soutien à Bruno Gollnisch » »

Marie-Christine de Penfentenyo : « Bruno Gollnisch porte en lui un attachement profond aux vraies valeurs qui ont fait la France »

J’ai rencontré Bruno Gollnisch pour la première fois en 1984 dans une réunion type « tupperware » qu’il animait ; j’ai pris ma carte du Front sur le champ et à partir de 1992, j’ai siégé dans le groupe de Bruno au conseil régional Rhône-Alpes pendant dix-huit ans. Cela m’a permis de bien le connaître et d’apprécier ses qualités d’orateur, sa culture encyclopédique et son extrême courtoisie avec tous, petits ou grands.

Mais plus encore, ce qui frappe chez cet homme politique, c’est la hauteur de ses vues, son souci constant du bien commun qui transcende les intérêts particuliers, son amour de la France qui lui a fait sacrifier honneurs, carrière, vie de famille… Il porte en lui, héritage d’une longue histoire familiale, un attachement profond aux vraies valeurs qui ont fait la France : dévouement à la Patrie, fidélité à un idéal, respect du travail, respect de la vie, soutien à la famille traditionnelle, souci des solidarités naturelles…

Oui, Bruno Gollnisch possède sans conteste toutes les qualités qui font le grand chef, le meneur et rassembleur d’hommes dont le Front aura un si extrême besoin dans les difficiles années qui s’annoncent. Il a la maturité et l’expérience politique et humaine nécessaires pour les grands combats de demain. C’est avec enthousiasme que je lui apporte mon entier et amical soutien.

Marie-Christine de Penfentenyo,
ancien conseiller régional Rhône-Alpes,
membre du comité central

Maurice Faurobert : Bruno Gollnisch, « pour notre seule France »

Le Front National est à un tournant de son histoire. Au prochain congrès à Tours, les 15 et 16 janvier, le successeur de JM Le Pen (président depuis la fondation du FN ) sera élu par les adhérents du Parti. Deux Vice-Présidents sont candidats : Marine Le Pen et Bruno Gollnisch.

Comme pour une compétition, certains sautent et chantent « on va gagner ! on va gagner !»
Mais de quoi s’agit-il ? De l’élection du président de notre mouvement. Cependant dans l’esprit de certains c’est l’élection du Président de la République. Avouez que ça n’a rien à voir ! La confusion est à ce point qu’on entend répéter : « le nouveau Président du F.N. sera obligatoirement notre candidat à la présidence de la république. » Et encore: « le candidat qui aujourd’hui prend pour objectif la présidence de la République en 2012 doit nécessairement être élu à la tête du F.N. ! … et si ce n’est pas le cas, on risque une scission ! »
C’est évidemment une conclusion sans fondement.

D’abord parce qu’en vertu de la discipline et du respect du choix démocratique des électeurs, dont tout le monde se réclame, il faudra non seulement accepter mais travailler avec le Président élu le 16 Janvier.
Et ensuite parce que rien, absolument rien, n’oblige le Président du F.N. à être le représentant du parti dans la campagne électorale à la présidence de la République.
Enfin il est légitime de penser que ces deux présidences celle du F.N. et celle de la république sont si différentes, c’est le moins qu’on puisse dire, entrainent obligatoirement un choix de personnes aux charismes différents.
Ne sommes nous pas riches de charismes au F.N. ?

Continuer la lecture de « Maurice Faurobert : Bruno Gollnisch, « pour notre seule France » »