Christophe Boudot : « Bruno Gollnisch, une chance historique »

Le moment est venu de donner un nouveau chef au Front National.
A partir du 16 Janvier prochain, le successeur de Jean Marie Le Pen devra conduire notre mouvement et rassembler, derrière lui, l’ensemble de la famille nationale en France.
Il m’apparaît comme une évidence que BRUNO GOLLNISCH, est le plus qualifié pour assurer cette lourde mission.

A ses cotés dans le combat politique, l’accompagnant souvent lors de ses déplacements, j’ai pu juger du profond respect et de l’amitié sincère que lui portent les militants et adhérents du Front National partout en France. J’ai pu également apprécier ses grandes qualités d’homme d’Etat toujours prompt à privilégier l’intérêt du Front National avant son petit confort personnel.

Bruno Gollnisch incarne naturellement les idées du Front National, il incarne ce bel esprit moderne de résistance enraciné dans la tradition. Il est également le pourfendeur légitime du politiquement correct, d’un système corrompu qui souhaiterait un jour nous enlacer pour mieux nous étouffer …

Il est un redoutable parlementaire et un homme d’assemblée respecté même par ses adversaires politiques français et étrangers. Il a su, par son intelligence et sa grande capacité d’analyse, fixer et enrichir la doctrine du Front national, sans laquelle aucun avenir politique sérieux ne sera possible.

Nouveau président du Front National, il pourra, j’en suis convaincu, donner à notre mouvement un élan supérieur et écrire une nouvelle page de son histoire, celle de la conquête du pouvoir, qu’il abordera sans aucun complexe et dans un esprit de rassemblement, restant ouvert à tous les patriotes qui souhaiteront rallier nos rangs, légitimant ainsi durablement notre combat de toujours.

Nous avons une chance historique de porter un homme d’Etat à la présidence du Front National, alors, saisissons là !

Christophe BOUDOT
Conseiller régional Rhône-Alpes
Secrétaire départemental du Front National du Rhône
Ancien conseiller municipal

La ville de Lyon mise à feu et à sac

FRONT NATIONAL

Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
le 19 octobre 2010

LA VILLE DE LYON MISE A FEU ET A SAC

Depuis hier, de nombreuses villes sont mises à feu et à sac par des casseurs de tous bords, généralement des bandes constituées sur la base d’affinités ethniques. Lyon n’y a pas échappé. De nombreux magasins ont été pillés et saccagés, des voitures dégradées, des passants du centre-ville agressés et molestés.

Ceci fait suite aux très violents « casses » à l’arme de guerre qui ont eu lieu récemment.

Une fois de plus, la politique des « mesurettes » de Nicolas Sarkozy et de Brice Hortefeux a donc montré son inefficacité totale. La population lyonnaise se rend amèrement compte du fait qu’ils poursuivent des objectifs médiatiques et électoraux, et sont incapables de s’attaquer au fond du problème.

Le Front National dénonce également l’échec de la « politique de la ville » des partis de gauche et de droite réunis. Durant des années, ceux-ci ont préféré acheter une paix civile instable dans les quartiers plutôt que de s‘attaquer aux vrais problèmes d’insécurité. Cette lâcheté à un prix : celui de l’actuelle violence, qui n’en est hélas qu’à ses débuts, et que seules peuvent conjurer les mesures énergiques et cohérentes que nous préconisons.

Bruno Gollnisch, Président du Groupe FN, député européen
Christophe Boudot, Conseiller régional, secrétaire départemental FN du Rhône.

Quand un élu communiste agresse deux élus frontistes…

COMMUNIQUE

DEUX ELUS FRONTISTES AGRESSES PAR UN CONSEILLER MUNICIPAL COMMUNISTE DE SAINT DENIS

Venus soutenir le lancement officiel de la candidature de Bruno GOLLNISCH à la présidence du FRONT NATIONAL, accompagnés de deux jeunes militants, nous avons tenté de rejoindre le lieu de rassemblement : le parvis de la Basilique SAINT DENIS.

Après une progression pénible dans les rues incroyablement bondées offertes aux extravagantes mœurs et coutumes africaines, nous atteignons enfin le parvis de notre lieu saint, nécropole des rois de France et aussi de Charles Martel…

Mais nous sommes vite repérés par des groupes mobiles de manifestants d’extrême gauche. Le climat d’insécurité est à son comble lorsque, nous ayant suivi, un groupe déterminé fonce sur nous. Il faut se mettre à l’abri. Aubaine, l’hôtel de ville est à quelques pas, et nous entrons dans le supposé, symbolique et protecteur sanctuaire républicain.

Quelques secondes plus tard, un homme venant du dehors, se présente à moi, il est conseiller municipal, sa tenue et son apparence négligées ne me le laissait pas deviner. Il nous ordonne de « dégager » et nous hurle que nous sommes « interdits de séjour dans cette ville »… Je lui réponds qu’en tant que Français et élu régional je n’ai pas à obtempérer.

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