Bruno Gollnisch et la défense de la vie humaine

Dans le numéro de Minute à paraître demain, Bruno Gollnisch s’exprime sur l’avortement et la peine de mort. Extraits :

Rebondissant sur son intervention lors de la 8è Journée mondiale contre la peine de mort :

« J’ai été écoeuré par les interventions dégoulinantes de bons sentiments à l’égard des coupables, et parfaitement indifférentes au sort des victimes, qui ont été celles de la quasi totalité des orateurs. Et j’ai été choqué par la confusion volontaire qu’ils font entre la peine de mort pratiquée par les régimes autoritaires ou totalitaires comme moyens d’intimidation, et la peine de mort en vigueur dans des Etats de droit, où je dois dire qu’en l’état actuel des choses, il y a quand même un fait avéré, c’est qu’elle permet, là où elle est encore en vigueur, de sauver un certain nombre de vies. Car les cas d’assassins libérés qui récidivent ne sont pas rares, et les assassins exécutés, eux, ne récidivent jamais« .

« Quand on est en face de cas comme Dutroux ou Fourniret, quelle autre sanction appliquer? Est-il plus humain de les enfermer jusqu’à la fin de leurs jours, à supposer qu’on ne les libère point, ce dont je doute? »

« Oui [c’est compatible avec ma foi catholique] parce que je crois qu’à l’égard de celui qui a délibérément privé les autres de la vie, la peine de mort est un moyen de légitime défense de la société et qu’elle peut être, pour le coupable lui-même, le moyen de sa rédemption« .

« Je ne suis pas un fanatique de la peine de mort. S’il y avait un moyen de protéger la société des criminels multirécidivistes par un moyen autre, j’y souscrirais. Je préfèrerais que l’on protège toutes les formes de vie innocente, quitte à protéger aussi la vie des coupables, plutôt que l’inverse« .

Plutôt qu’une Journée mondiale contre la peine de mort, vous préféreriez une Journée mondiale de la protection et de l’accueil de la vie innocente. Qu’appelez-vous « la vie innocente »?

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Violence faites aux femmes : quand les coutumes étrangères deviennent plus fortes que les lois françaises

FRONT NATIONAL

Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
Paris, le 6 octobre 2010

Violence faites aux femmes :
Quand les coutumes étrangères deviennent plus fortes que les lois françaises

Décidément La cité du Mâle (reportage sur la situation dégradée des jeunes femmes dans certaines cités) n’en finit plus de créer la polémique. Abordant un sujet délicat : celui du machisme des jeunes des cités, il a été tourné à Vitry-sur-Seine en bas des tours du quartier où, en 2002, Sohane Benziane, a été assassinée, brûlée vive. Après une première déprogrammation début septembre (la cité du mâle exercerait-elle sa loi jusque dans le bureau du directeur d’Arte ?) il est finalement diffusé jeudi dernier. J’apprends maintenant que c’est au tour des membres de la maison de production d’être menacée de mort par les gamins filmés qui se sont rendus au siège de Doc en Stock pour y lancer : « on va vous brûler, on reviendra et on vous brûlera tous » *.

Ce refrain n’est pas nouveau. Ils ont brûlé Chahrazad, tué Sohane, étranglé Fatima. Ces meurtriers sont en général des proches, souvent des frères, gardiens de la virginité des filles et des sœurs. Au fond, dans les cités, il n’y aurait que deux façons d’être une femme : ou voilée, ou violée.

Le décalage des civilisations apparaît crûment dans le reportage. Ces gamins qui se réclament de l’Islam et qui tiennent les murs sont peut être minoritaires mais ce sont eux qui font l’ambiance de la cité pendant que les autres sont à l’école, à la fac, au boulot. Ce sont eux qui parlent le plus fort, eux qui insultent les filles. Ils sont la minorité violente qui impose sa vision des choses à toute une communauté, où s’opère une sorte d’assimilation à l’envers : soit des nôtres ou tu seras notre ennemi.

Au Front National nous osons dire que la montée des violences faites aux femmes est concomitante avec l’arrivée en masse d’une immigration extra-européenne dont la culture, les traditions sont absolument contraire aux nôtres.

* le parisien 5 octobre 2010

Conférence de presse de Bruno Gollnisch sur l’immigration

MYTHES ET REALITES DANS LA POLITIQUE D’IMMIGRATION
& DANS LE PROJET DE LOI DU GOUVERNEMENT
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Conférence de Presse de Bruno Gollnisch,
Député européen, Vice-président du Front National.

1er octobre 2010

Texte intégral de la conférence de presse ci-dessous

Paraphrasant Shaekespeare, je serais tenté de dire des polémiques actuelles, « Much ado bout nothing », « beaucoup de bruit pour rien »- ou en tous cas pour pas grand chose. En effet, le texte de loi présenté par le gouvernement, manifestement peu lu de ceux qui le commentent, n’est rien d’autre, pour l’essentiel, que la transposition en droit français, obligatoire, de trois directives européennes , qui, comme telles, ont été discutées et votées au Parlement européen. Il se trouve que je me suis exprimé sur chacun de ces textes à l’époque. Il s’agit :

1) du rapport Weber (A6-0339/2008)
qualifié de Directive « Retour »

En réalité, ce texte tel qu’amendé organise beaucoup plus les droits des clandestins expulsables et leur maintien en Europe qu’il ne garantit leur retour.

La rétention en centres fermés ? Un dernier recours, extrêmement encadré. Sa durée de 18 mois ? Ce n’est qu’une limite supérieure, exceptionnelle : les Etats qui ont des plafonds légaux inférieurs les conserveront. Le délai de départ volontaire ? Il évite aux intéressés l’interdiction du territoire de l’Union. Et les Etats sont invités à procéder au moindre prétexte à une régularisation.

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Aujourd’hui, Bruno Gollnisch défend les harkis et les pieds noirs à Paris

A 15H00, Bruno Gollnisch participait devant l’Assemblée Nationale à la manifestation organisée en faveur des communautés harkies et pieds noirs, rassemblées afin de faire respecter les engagements de Nicolas Sarkozy pris le 31 mars 2007.

Jérémy