Bruno Gollnisch était aujourd’hui l’invité de Radio Classique:
Jean
Ensemble construisons l'avenir de la droite nationale
Bruno Gollnisch était aujourd’hui l’invité de Radio Classique:
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– Ce soir, lundi 13 décembre, Bruno Gollnisch sera l’invité du 19H/20H de Ruth Elkrief sur BFM TV, en duplex de Strasbourg.
– Jeudi 23 décembre à 22H00, Bruno Gollnisch sera l’invité politique de Sonia MABROUK sur Public Sénat.
Jean
Si j’ai choisi BRUNO GOLLNISCH, c’est parce que j’estime qu’il possède tous les talents du Chef dont le FRONT NATIONAL a besoin.
Conduire et représenter un parti comme le nôtre chez nous et à l’étranger, ne peut se concevoir qu’à travers la personnalité d’un Homme exceptionnel.
Celui-ci doit savoir diriger d’autres hommes, leur insuffler la confiance. Il doit bien entendu avoir le sens de la grandeur et de l’Etat.
Le candidat BRUNO GOLLNISCH a toutes ces qualités. Il est en outre doté d’une intelligence et d’une culture remarquables, d’une rapidité d’esprit et d’une courtoisie infinies, mais aussi d’un sens de l’humour trop souvent absent du monde de la politique.
Quantité de dirigeants actuels ont été placés à leur poste par opportunisme ou, pire encore, par défaut. Parce qu’ils n’en ont pas la vocation et sont donc incompétents, ils participent au déclin de la France.
Il faut donc remettre à l’honneur les vrais Chefs et les Valeurs traditionnelles qui font les vrais Pays.Ces Hommes sont rares.
J’en connais un et c’est BRUNO GOLLNISCH.
Après le 16 janvier, il saura renforcer l’unité de notre Mouvement, et rassembler avec discernement tous les nationaux pour le bien de notre Patrie.
Yves W.Gelszinnis –
Conseiller Régional de Lorraine.
Bruno Gollnisch, qui n’a pas renoncé à l’idée de coiffer Marine Le Pen sur le poteau et de devenir en janvier le nouveau président du FN, n’est pas du tout choqué par les propos qu’a tenus vendredi à Lyon sa rivale. Il pense la même chose, mais l’aurait dit autrement.
France-Soir : Vendredi à Lyon, Marine Le Pen a établi un parallèle – qui en a scandalisé plus d’un – entre l’occupation allemande et la prière d’un certain nombre de musulmans en France dans les rues. Certains disent qu’elle a choisi de vous imiter car, jusqu’ici, vous lui reprochiez un discours trop « soft » !
Bruno Gollnisch : Elle m’imiterait ? Pas du tout !… Son « dérapage », comme le qualifient les journalistes, n’était absolument pas calculé. Simplement, à un moment donné, le « politiquement correct » finit forcément par vous échapper.
F.-S. Vraiment, elle ne vous a pas surpris ?
B. G. Disons que je m’étonne quand même un peu de ces propos-là, elle qui m’avait récemment reproché mes amitiés révisonnistes « avec des obsédés de la Shoah ».
F.-S. Alors, c’est une petite victoire pour vous ?
B. G. Cela montre, en tout cas, toutes les limites de sa stratégie de la « dédiabolisation ». Une stratégie que je n’ai cessé de dénoncer et qui est clairement vouée à l’échec. Ce qui arrive est la preuve que cela ne sert à rien de donner des gages au système. Plus on en donne, plus le système exige que vous courbiez la tête, puis l’échine, puis que vous vous mettiez à plat ventre. Le moindre propos qui n’est pas dans la ligne est immédiatement perçu comme un dérapage inacceptable. Pour moi, la diabolisation ne vient pas de ce que nous disons, mais des diabolisateurs.
F.-S. Auriez-vous employé les mêmes termes que Marine Le Pen puisqu’on sait que vous êtes, sur le fond, d’accord avec elle ?
B. G. Peut-être pas. Le terme d’« occupation » n’est pas le plus approprié. Je parlerai personnellement plutôt de colonisation progressive. Je rappelle, au passage, que l’ancien président de la République Valéry Giscard d’Estaing avait carrément parlé en 1978 d’« invasion » ! A l’époque, tout le monde avait crié au scandale. Aujourd’hui, qui s’en rappelle ? Qui lui donnerait tort ?