Anne-Christine Royal : « Bruno : d’un choix éclairé par 26 ans de militantisme »

Pourquoi Bruno plus que Marine ?  Trois raisons :

1-Parce qu’on va instinctivement vers ce qu’on connait le mieux. Quand, en plus, on aime et admire ce qu’on connait, alors il n’y a plus de doute ! J’ai rencontré Bruno à un congrès du M.S.I. Petit ilot français en pleine Italie, nous avons passé trois jours tous ensemble. Le personnage politique me plaisait, l’homme me convainquît. Une rencontre rare, de celles qui nous marquent quand le hasard de la vie nous met en présence d’êtres d’exception. La suite n’a jamais fait que confirmer cette intuition ;

Une intelligence hors du commun, une finesse d’analyse percutante,…et une courtoisie habillant une vraie bonté, un sens de l’humour qu’il n’hésite pas à exercer à ses propres dépens. Rien de matois dans le bonhomme ! Sous l’affabilité non feinte et la rondeur franche du regard, une élégance morale, une détermination et un courage sans faille, une personnalité vive et un caractère bien trempé. Il redonne au politique ses lettres de noblesse, c’est un homme de droiture et de rigueur.

2- Je n’aime pas ce que les médias encensent, est-ce ma parano qui parle ? Je m’y fie encore pour ce qu’elle a su m’éviter en pièges et déceptions ! Bruno ne se met pas en « valeur », il n’a pas le temps pour cela, bucheron qui abat sa cognée sans relâche. Aux boursouflures de l’ego il préfère les ampoules et les cals du travail, celui de l’ombre, celui des nuits obscures de veilles et de combats sans gratification. En cela il est proche du militant, du colleur, du DPS, de la secrétaire ou du donateur anonyme… les forces vives du Front.

3- Il n’a jamais cherché à tuer le « père », c’est un fidèle. Meurtri, comme nous tous, par la scission de 1998, il a attendu que Jean Marie décide lui-même de se retirer. Il aime le Patron et l’a toujours respecté. Mieux que quiconque il a compris ses blessures et l’a accompagné tout au long de ses années de combat. Il n’a jamais écouté les sirènes tentées de lui susurrer qu’il était temps que les temps changent, qu’il pouvait légitimement se présenter comme candidat ainsi que les statuts du Front l’autorisent … C’est un homme d’honneur, un homme de cœur et d’unité, qui évita à Jean-Marie un amer « tu quoque, mi fili ? » déjà vécu lors de l’affaire Mégret. Est Brutus qui peut, n’est pas Bruno qui veut !

Pour ces raisons je soutiens la candidature de Bruno Gollnisch au prochain congrès, avec la certitude d’un choix éclairé par 26 ans de militantisme.

Anne-Christine Royal,
Membre du Comité Central
Responsable de Circonscription de la Gironde
Mère de famille nombreuse

Communiqué de presse de Bruno Gollnisch

Communiqué de Presse de Bruno GOLLNISCH,
Vice-président du Front National
:

Bruno Gollnisch condamne l’odieuse agression dont a été victime hier soir Steeve Briois, Conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais.
Il espère que les lâches auteurs de ce guet-apens seront rapidement retrouvés et sévèrement punis comme ils le méritent.
Il souhaite de tout cœur à Steeve Briois un prompt rétablissement.

Avec Bruno Gollnisch : un parti puissant respectant les valeurs nationales

J’ai choisi de soutenir Bruno Gollnisch dans la campagne interne du Front National. C’est un acte politique que je revendique : l’intérêt supérieur de notre parti et celui du pays sont liés et seul un grand homme peut nous sortir de cette situation.

Il est nécessaire de privilégier le fonctionnement interne de notre parti ; les militants du Front National ont besoin d’un parti puissant, uni, et respectant les valeurs nationales.

Seul mon ami Bruno Gollnisch peut rassembler et gagner cette bataille. La hiérarchie des postes du Carré n’est pas un acquis; être cadre au Font National ne s’hérite pas mais se mérite.

Vive le Front National
Vive Bruno Gollnisch

Eric SAMYN
Secrétaire départemental des Ardennes
Conseiller Régional de Champagne-Ardenne