Louis de Condé : « Bruno Gollnisch : faire entendre la voix de la France »

Élevé dans l’amour de la patrie par mes parents, j’ai milité très tôt pour le mouvement national en adhérant à 17 ans à Jeune Nation en 1956 jusqu’à sa dissolution. Je continue à reconnaître Pierre Sidos, son fondateur, comme un éminent patriote qui a formé plusieurs générations de militants.

Fervent lecteur et admirateur de Charles Maurras, le plus grand penseur du 20ème siècle français, je le considère comme mon véritable maître et j’adhère en tous points à ses mots d’ordre « politique d’abord », « pas d’ennemis à droite », « le désespoir en politique est une sottise absolue »…

J’ai servi mon pays en m’engageant par devancement d’appel dans la Brigade des parachutistes coloniaux, puis comme sous-lieutenant à la Légion Étrangère, pendant la guerre d’Algérie. Comme le capitaine Pierre Sergent, – qui fut député du Front National – puis comme le Colonel Bastien-Thiry, qui le paya de sa vie, j’ai mis ma peau au bout de mes idées, en lutant de toutes mes forces pour l’Algérie française, notre province perdue.

Dès mon retour d’Italie, en 1982, j’ai adhéré tout naturellement au Front National entre les mains de son fondateur Jean-Marie Le Pen, lors d’une journée d’Amitié français organisée par Bernard Antony, ayant compris très vite qu’il avait les qualités d’un homme d’état, qu’il possédait les talents nécessaires pour réunir toutes les composantes, les diverses fractions du mouvement national, et qu’il était doué d’une vision perçante de l’avenir, vertu essentielle à qui veut gouverner.

Ainsi il avait dit voici 30 ans déjà, « Nous avons perdu l’Algérie française, nous aurons la France algérienne ». Ces mêmes qualités, ces mêmes talents, ces mêmes vertus, je les vois aussi incarnées en la personne de Bruno Gollnisch.

Continuer la lecture de « Louis de Condé : « Bruno Gollnisch : faire entendre la voix de la France » »

Marie Favre : « L’homme de la situation, c’est Bruno Gollnisch »

L’élection de notre nouveau Président représente pour tous les militants un évènement majeur, qu’ils abordent à la fois avec espoir et inquiétude.

Elue à la Région Rhône-Alpes aux côtés de Bruno Gollnisch, je lui fais une confiance totale pour assumer cette lourde tâche, dont dépend l’avenir de notre nation.
Adhérente et militante depuis 1992, j’ai porté les couleurs du Front National dans toutes les batailles électorales, suivant sans état d’âme Jean-Marie Le Pen qui a fait de Bruno Gollnisch l’homme qui pourrait le remplacer en cas d’empêchement.

J’ai toujours envisagé l’avenir du Front National avec sérénité puisque la succession de notre Président serait assurée par une personne compétente, digne de confiance mais surtout fidèle à ses amis et à ses convictions.

Le moment venu, Bruno a donc présenté tout naturellement sa candidature, qui n’est pas une candidature d’ambition personnelle et son succès lors du congrès serait plus que légitime.
Il est brillant, cultivé, sincère, pugnace ; sa dimension internationale, son courage, son abnégation, sa fidélité à Jean-Marie Le Pen, en font, pour moi, son héritier légitime.
Il a contribué à l’élaboration d’un programme qu’il mettra en œuvre avec conviction. Il saura redonner au Front National sa combativité et son efficacité, le mener au pouvoir et mettre en place les conditions d’une alternative au mondialisme.

Il souhaite rassembler tous les membres de la famille nationale, de la gauche patriotique à la droite sociale. Il saura attirer, sans compromission et avec diplomatie, d’anciens cadres et militants, même parfois venant d’une autre famille politique. Tous le rejoindront en partageant nos valeurs.

Bruno affirme qu’il est ouvert à un partage des rôles avec Marine Le Pen. Il ne faut donc pas se tromper d’objectif ni mélanger les échéances. Nous avons, en janvier 2011, à élire le successeur de Jean-Marie Le Pen et non pas le candidat ou la candidate à la Présidentielle de 2012 et Bruno est sans doute possible l’homme de la situation.

Marie Favre – Haute-Savoie
Conseiller Régional Rhône-Alpes

Youri KOUSKOFF : « Bruno Gollnisch, le candidat qui évitera au Front National de perdre son âme »

Ce n’est pas de gaieté de cœur que nous nous résignons à désigner un remplaçant de Jean-Marie Le Pen à la barre du Front National. La tâche du nouveau pilote sera rude, il lui faudra :

Ne pas changer de cap sous couleur de rajeunissement ou de mise au goût du jour : un Front National devenu par électoralisme politiquement correct ne pourrait devenir qu’un supplétif minoritaire de la « droite » molle, courbe fourbe (j’en passe… et des pires) :

Fédérer sans exclusive, au-delà des questions de personnes, les forces vives de la mouvance nationale.

Rester sourd aux sirènes des médias serves du politiquement correct et de l’argent anonyme et vagabond.

– Ne pas tomber dans je ne sais quel « centralisme démocratique » qui consisterait à tenir le militant de base pour quantité négligeable, mais corvéable à merci.

C’est pourquoi je voterai pour le candidat qui évitera au Front National de perdre son âme, c’est à dire pour BRUNO GOLLNISCH dont on connait la « force tranquille » des convictions et la rigueur du programme.

Youri KOUSKOFF
Agrégé de grammaire
Docteur en histoire de la philosophie et études latines
Maître de conférence honoraire de langue et littératures anciennes
Chevalier des palmes académiques
Croix du combattant
Flamme d’honneur du Front National

Maître Ghislain DUBOIS, avocat au Barreau de Liège, soutient Bruno GOLLNISCH

Chers Amis,

Je connais Bruno GOLLNISCH depuis plus de vingt ans, alors que je terminais mes études de droit, et une amitié s’est vite nouée entre nous. Amitié qui a débouché sur des liens familiaux puisque le fils de Bruno est le parrain de l’un de mes six enfants.

J’ai également assisté Bruno comme avocat dans différents dossiers, notamment pour la défense de ses droits face au Parlement européen, dans le cadre de la défense de son immunité parlementaire. Procédure devant la Cour de justice des Communautés Européennes qui nous a d’ailleurs donné raison.

Bruno est dans la vie privée comme dans la vie politique, un homme de coeur, un homme raisonnable et à l’esprit vif. Un chêne contre lequel on peut s’appuyer.

La France et l’Europe des peuples libres et amis s’enorgueilliraient de le compter parmi leurs dirigeants, parmi les hommes qui comptent.

Face aux vents et tornades qui grondent sur notre vieux continent, il faut un bon capitaine pour tenir la barre et regarder au large, droit devant lui, pour mener le navire à bon port. L’officier supérieur de la Royale qu’il est, en sus de l’homme aux qualités que je viens de dire, est assurément celui-là.

Ghislain Dubois,
Avocat au Barreau de Liège

Danièle Le Gac : « Je soutiens Bruno Gollnisch : le meilleur d’entre nous. »

Nonobstant sa carrière universitaire et professionnelle exceptionnelle, il me faut mettre en lumière son parcours politique irréprochable, sa fidélité au Front National, sa loyauté envers son chef Jean Marie LE PEN et sa constance face aux nombreuses épreuves qu’il a subies.

J’ajoute à ces qualités morales et intellectuelles d’évidentes dispositions d’orateur, servies en cela par un « bel organe » de tribun, et qui déclenchent régulièrement les ovations du public et des militants lors de ses passages. Quels regrets de l’époque où il avait encore des responsabilités exécutives à la tête de la délégation générale du mouvement ; il est tout à fait regrettable que les nouveaux adhérents comme les nouveaux élus ne puissent prendre la mesure de la valeur d’un tel candidat !

Du moins devront-ils admettre, avec moi, que Bruno GOLLNISCH est le plus compétent pour traiter des affaires internationales, par sa formation universitaire, par son expérience parlementaire européen et sa connaissance de plusieurs langues étrangères, toutes qualités qui présentent un intérêt certain pour un futur président de parti.

Danièle LE GAC
Conseillère régionale de PACA
Conseillère municipale de Toulon
Ancienne responsable du Cercle National des Femmes d’Europe du Var