Bruno Gollnisch en Bourgogne

En ce samedi 20 novembre, Bruno Gollnisch est venu à Nuits-Saint-Georges rencontrer ses sympathisants Bourguignons. C’est le temps d’un après midi que notre cher candidat à la présidence du Front National a pris le temps de déguster nos bons vins, et de répondre aux questions après un magnifique discours.

Comme toujours, nous avons été enthousiasmé par la personnalité et le discours de Bruno Gollnisch, comme en témoignait l’ambiance chaleureuse traditionnelle à ces déplacements.

Nous saluons la quinzaine de JAG venu de toute la Bourgogne présent à ce meeting. Nous remercions aussi la famille Boursot de son accueil et de l’organisation de cette rencontre réussie.

Harold

A propos de la Corée

FRONT NATIONAL
Paris, le 23 novembre 2010

COMMUNIQUE DE PRESSE
de Bruno Gollnisch

Député français au parlement européen,
Vice Président exécutif du Front National

La nouvelle provocation Nord-Coréenne témoigne, s’il en était besoin, de l’inhumanité profonde de ce régime communiste dictatorial et sanglant qui menace depuis plus de 60 années la sécurité de la Région.

Elle pose le problème de l’attitude de la Chine, encore communiste, et qui protège depuis toujours l’effroyable régime Nord-Coréen.

Le régime kafkaïen qui opprime les Nord-Coréens doit disparaître. La solution d’avenir est évidemment une Corée réunifiée, neutralisée, et dégagée de toute ingérence militaire étrangère, d’où qu’elle vienne. Il est urgent que toute la communauté internationale pèse dans ce sens, si elle ne veut pas courir le risque d’un conflit nucléaire que les fous de Pyong-Yang sont bien capables de déclencher.

Louis de Condé : « Bruno Gollnisch : faire entendre la voix de la France »

Élevé dans l’amour de la patrie par mes parents, j’ai milité très tôt pour le mouvement national en adhérant à 17 ans à Jeune Nation en 1956 jusqu’à sa dissolution. Je continue à reconnaître Pierre Sidos, son fondateur, comme un éminent patriote qui a formé plusieurs générations de militants.

Fervent lecteur et admirateur de Charles Maurras, le plus grand penseur du 20ème siècle français, je le considère comme mon véritable maître et j’adhère en tous points à ses mots d’ordre « politique d’abord », « pas d’ennemis à droite », « le désespoir en politique est une sottise absolue »…

J’ai servi mon pays en m’engageant par devancement d’appel dans la Brigade des parachutistes coloniaux, puis comme sous-lieutenant à la Légion Étrangère, pendant la guerre d’Algérie. Comme le capitaine Pierre Sergent, – qui fut député du Front National – puis comme le Colonel Bastien-Thiry, qui le paya de sa vie, j’ai mis ma peau au bout de mes idées, en lutant de toutes mes forces pour l’Algérie française, notre province perdue.

Dès mon retour d’Italie, en 1982, j’ai adhéré tout naturellement au Front National entre les mains de son fondateur Jean-Marie Le Pen, lors d’une journée d’Amitié français organisée par Bernard Antony, ayant compris très vite qu’il avait les qualités d’un homme d’état, qu’il possédait les talents nécessaires pour réunir toutes les composantes, les diverses fractions du mouvement national, et qu’il était doué d’une vision perçante de l’avenir, vertu essentielle à qui veut gouverner.

Ainsi il avait dit voici 30 ans déjà, « Nous avons perdu l’Algérie française, nous aurons la France algérienne ». Ces mêmes qualités, ces mêmes talents, ces mêmes vertus, je les vois aussi incarnées en la personne de Bruno Gollnisch.

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Marie Favre : « L’homme de la situation, c’est Bruno Gollnisch »

L’élection de notre nouveau Président représente pour tous les militants un évènement majeur, qu’ils abordent à la fois avec espoir et inquiétude.

Elue à la Région Rhône-Alpes aux côtés de Bruno Gollnisch, je lui fais une confiance totale pour assumer cette lourde tâche, dont dépend l’avenir de notre nation.
Adhérente et militante depuis 1992, j’ai porté les couleurs du Front National dans toutes les batailles électorales, suivant sans état d’âme Jean-Marie Le Pen qui a fait de Bruno Gollnisch l’homme qui pourrait le remplacer en cas d’empêchement.

J’ai toujours envisagé l’avenir du Front National avec sérénité puisque la succession de notre Président serait assurée par une personne compétente, digne de confiance mais surtout fidèle à ses amis et à ses convictions.

Le moment venu, Bruno a donc présenté tout naturellement sa candidature, qui n’est pas une candidature d’ambition personnelle et son succès lors du congrès serait plus que légitime.
Il est brillant, cultivé, sincère, pugnace ; sa dimension internationale, son courage, son abnégation, sa fidélité à Jean-Marie Le Pen, en font, pour moi, son héritier légitime.
Il a contribué à l’élaboration d’un programme qu’il mettra en œuvre avec conviction. Il saura redonner au Front National sa combativité et son efficacité, le mener au pouvoir et mettre en place les conditions d’une alternative au mondialisme.

Il souhaite rassembler tous les membres de la famille nationale, de la gauche patriotique à la droite sociale. Il saura attirer, sans compromission et avec diplomatie, d’anciens cadres et militants, même parfois venant d’une autre famille politique. Tous le rejoindront en partageant nos valeurs.

Bruno affirme qu’il est ouvert à un partage des rôles avec Marine Le Pen. Il ne faut donc pas se tromper d’objectif ni mélanger les échéances. Nous avons, en janvier 2011, à élire le successeur de Jean-Marie Le Pen et non pas le candidat ou la candidate à la Présidentielle de 2012 et Bruno est sans doute possible l’homme de la situation.

Marie Favre – Haute-Savoie
Conseiller Régional Rhône-Alpes