Quand la jeunesse, l’avenir, le travail et la culture soutiennent Bruno Gollnisch

Katell Mautin 29 ans, mariée, 5 enfants :

Je m’apprête à mettre au monde un bébé. Ses grandes sœurs sont impatientes, chacun se réjouit d’avance. Pourtant quel avenir préparons-nous à nos chères têtes blondes ?

Pour qu’elles grandissent, je veux un environnement sain. Pour les instruire, je veux des écoles libres. Pour qu’elles s’épanouissent, je veux une société de valeurs.

C’est pourquoi j’ai régulièrement été candidate sous les couleurs du FN dès que j’ai eu 18 ans. Je sais aussi que l’électoralisme peut être un piège lorsqu’à trop se prendre au jeu de la compétition, on oublie parfois le sens de son engagement initial. Aussi, garder les idées claires en toutes circonstances et soutenir ses amis dans le succès comme dans l’épreuve, voilà les qualités nécessaires pour mener notre Mouvement à la bataille.

C’est pourquoi je crois que Bruno Gollnisch est, de loin, le plus qualifié pour présider le Front National.

Matthieu Mautin 34 ans, marié, 5 enfants
Ancien secrétaire régional FNJ en Région-Centre
Co-animateur national du FNJ campagne présidentielle 2001-2002
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Je suis tailleur de pierre. Mon métier me procure l’incomparable privilège de vivre notre patrimoine au quotidien. Je dis bien de vivre car qu’il soit artistique, culinaire, intellectuel ou que sais-je encore, le patrimoine est avant tout un art de vivre et non un produit de consommation… Quoi qu’en pensent les vautours du mercantilisme ultralibéral.

Saint Denis, nécropole Royale ! Il est des ignares pour ne voir dans ce chef d’œuvre qu’un souvenir religieux du temps passé : Evidemment non. Ce vaisseau de pierre plus que millénaire a un visage : Il est le portrait de notre peuple taillé dans la pierre. Blessée par les guerres, souillée par les révolutions, engloutie par l’invasion… Preuve matérielle d’un formidable essor technique et intellectuel, témoignage d’un immense génie politique, mémorial d’une offrande spirituelle. La basilique reste fièrement là et sur ses murs est gravé le grand livre de notre histoire. Il reste sur ce livre bien des pages à écrire.

Entendez l’appel lancé à Saint Denis : Notre patrimoine n’est pas un pieux souvenir mais un socle pour bâtir aujourd’hui. Avec Bruno Gollnisch, Président du Front National, au travail !

Eliane de la Brosse : « Bruno Gollnisch : des qualités essentielles »

BRUNO GOLLNISCH : DES QUALITES ESSENTIELLES

Depuis 23 ans au Front National, Membre du Comité central, du bureau départemental du Var et ancien conseiller général FN, j’apporte mon soutien total à Bruno GOLLNISCH, haute personnalité du Front National dont il est le deuxième vice-président, après R.Holeindre (dont il a le soutien) et premier du Comité Central depuis l’an 2000.

Toute mon estime et mon admiration lui sont acquises pour sa totale loyauté au Front National et à son Président Jean-Marie LE PEN depuis tant d’années. Sa lucidité politique et sa maîtrise lui permettent le plus grand contrôle de lui-même notamment dans les moments les plus difficiles de la vie politique au quotidien.

Polyglotte (13 langues), sa grande culture, sa droiture, sa volonté sans faille et sa fidélité sont les qualités essentielles pour succéder à Jean Marie LE PEN.

Tout comme Roger Holeindre, je ne suis nullement choquée par ses appels à l’unité des patriotes qui le souhaitent, mais bien entendu dans le strict cadre d’une discipline absolument nécessaire à notre difficile combat.

Bruno GOLLNISCH saura faire le lien et la Réconciliation. Il a toute ma confiance, persuadée qu’il conduira le Front National à la Reconnaissance et à la Victoire pour l’avenir de la France.

Eliane de la Brosse,
Membre du Conseil Central du FN,
Membre du bureau départemental du Var

Gollnisch : «Plus résistant au politiquement correct»

Le vice-président du Front national, Bruno Gollnisch, était hier à Serres-Castet dans le cadre de sa campagne pour la succession de Jean-Marie Le Pen à la tête du parti d’extrême droite.

Qu’est-ce qui vous différencie de Marine Le Pen ?

Bruno Gollnisch : Je crois être plus ouvert sur le monde extérieur. J’ai la confiance de nombreux mouvements patriotiques en Europe. Je suis sensible à la défense des identités régionales, composante de l’identité nationale. Je suis sans doute plus résistant face à la pensée dominante, au politiquement correct.

Comprenez-vous les inquiétudes des Français sur la réforme des retraites ?

Oui. Je comprends surtout qu’ils estiment que c’est toujours aux mêmes que l’on demande des sacrifices.

Nicolas Sarkozy ne serait-il pas le meilleur candidat du FN pour 2012 ?

Sa politique sécuritaire n’a pas d’autre effet qu’un affichage purement médiatique. Beaucoup d’électeurs du FN ont été cocus en 2007. Je ne pense pas qu’ils souhaitent l’être à nouveau en 2012.

Source

Gollnisch, reviens, ils sont devenus fous ! (2/2)

Nous exposions la dernière fois la place que devaient tenir les sujets de société dans la vie politique, lesquels déterminent la place de l’homme dans la communauté : et nous affirmions ainsi que le programme sociétal du Front était la colonne vertébrale autour de laquelle devait s’articuler son projet politique. Aux antipodes, Marine le Pen affirme quant à elle que ces questions ne sont pas prioritaires, renonçant ainsi à une vision profonde de la société française, refusant de voir les causes les plus hautes de ses maux actuels.

Mais il est intéressant de souligner que l’indifférence de Marine le Pen à l’égard de certaines positions pourtant fondamentales du Front National se révèle également dans sa stratégie politique. Car à vouloir émanciper le Front de ses forces d’enracinement -ainsi que le signifie son refus de rassembler sa propre famille politique pour aller draguer immédiatement un électorat souvent éloigné de nos positions- on s’expose à un délitement et à un affaissement progressif du programme que vérifie d’ailleurs la sociétalisation actuelle du discours. Que mettent également en évidence les récentes prises de position des partisans de Marine le Pen, en poste et en responsabilité dans le mouvement malgré leurs divergences objectives, explicites et avouées avec notre programme politique. L’expérience nous enseigne cependant que toute modification du discours, en vue de diminuer ou d’atténuer l’expression de notre pensée politique, en vue d’estomper certains fondamentaux, a vocation, après s’être imposée dans l’opinion, à être intégrée dans le programme : il y a là en effet une pente naturelle.

Nous pensons au contraire que notre combat doit s’ancrer définitivement, et c’est l’enjeu de cette échéance interne, dans la défense d’un certain nombre de valeurs non négociables. Lesquelles révèlent une commune structure de pensée à l’ensemble de la droite patriote, dont témoigne en l’occurrence notre attachement indéfectible à l’enracinement familial, national, moral et culturel.

Sur la base de ces valeurs non négociables, autour de notre projet, il nous appartient donc de créer une dynamique de rassemblement. Mais une telle dynamique doit reposer sur un socle idéologique solide. Car tout édifice dont les fondations sont ébranlables et mouvantes menace de s’écrouler sur lui-même. Aussi bien nous voulons tous fédérer l’ensemble des français, et nous y serons parvenus lorsque nous aurons obtenu 100% des suffrages. Mais encore faut-il commencer par rassembler notre propre famille politique avant d’élargir le cercle de notre électorat. Quel crédit peut-on avoir lorsque, prétendant rassembler l’ensemble des électeurs, on n’a pas été en mesure de fédérer auparavant sa propre famille de pensée ?

Alors pour discréditer cette volonté de rassemblement, Marine le Pen développe une rhétorique qui rappelle étrangement celle de nos adversaires politiques. Afin de disqualifier dans l’opinion certains courants de pensée, le système leur associe en effet bien souvent de vilaines étiquettes. Procédé tout de même plus commode qu’une argumentation construite, et que Marine le Pen ne s’interdit pas de reprendre à son compte. Voilà donc Bruno Gollnisch accusé de vouloir rassembler l’« extrême droite ». Nous ne saurons jamais ce en quoi consiste l’ « extrême droite », mais c’est égal. Savoir que le Front National et Jean-Marie le Pen ont été victimes, et le sont encore, de ce discours convenu et académique ne semble pas troublé la prétendante. Le problème cependant, c’est que les « traitres » et les « félons » auxquels Marine le Pen fait allusion ont été cadres au Front National durant de nombreuses années, participant à la rédaction de son programme, et n’ont pas modifié leur ligne doctrinale en le quittant. Il était donc temps de s’apercevoir que le Front National avait longtemps été tributaire d’une idéologie « extrémiste ». Marine le Pen elle-même n’avait-elle pas affirmé, lors du départ de Carl Lang, qu’il n’existait entre eux aucune divergence idéologique, feignant ainsi de s’étonner d’une telle rupture ? On cherche à comprendre…

Jean

Interview de Jacques Colombier : « Bruno Gollnisch a de fortes chances d’être élu prochain président du Front National »

Jacques Colombier est le secrétaire départemental et régional du Front national. Il est aussi un des plus fervents soutiens de Bruno Gollnisch dans le cadre de la campagne interne au Front national visant à la succession de Jean-Marie Le Pen. Celui-ci a accepté de répondre aux questions d’Infos-Bordeaux afin donner son analyse de cette compétition

Infos-Bordeaux : Pouvez-vous nous donner des nouvelles de votre fédération ? Quels sont les projets pour l’année 2011 ? Présenterez-vous des candidats dans tous les cantons renouvelables ?

Jacques Colombier : La Fédération Front national de la Gironde se porte bien, nous avons  de plus en plus  d’adhérents. Ceci est lié d’une part  au désaveu massif des français totalement trompés par la politique de Sarkozy et attirés par les propositions de bon sens du FN, et d’autre part du fait de la campagne interne pour la succession de Jean Marie Le Pen  où seuls les adhérents à jour de cotisation pourront voter.
Pour 2011 nous avons en ligne de mire les élections cantonales où nous  présenterons des candidats dans tous les cantons renouvelables. Les résultats des élections régionales dans un certain nombre sont très encourageants.

Concernant la campagne interne au Front national, quels sont les rapports de force sur la fédération de Gironde ? 

Bien que je soutienne clairement la candidature de Bruno Gollnisch et participe à sa campagne, les adhérents du FN sont libres de leur choix. La guerre n’est nullement allumée au sein de la fédération bien heureusement ! 
L’affluence énorme lors du passage de Bruno Gollnisch en Gironde le 3 octobre, témoigne à l’évidence d’un large soutien à sa candidature.

D’une manière générale, on parle d’une vague d’adhésion au Front national. Confirmez-vous cette vague également en Aquitaine ?

Oui tout à fait, tant en terme de renouvellements que de nouvelles adhésions. 

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