Bruno Gollnisch : « la polémique ne doit pas inciter à construire plus de mosquées »

Bruno Gollnisch, candidat à la présidence du FN, a estimé qu’il ne fallait pas « prendre prétexte » de la polémique suscitée par une comparaison de sa rivale Marine Le Pen entre les prières de musulmans dans les rues et l' »occupation » allemande « pour construire encore plus de mosquées ».

Interrogé sur la polémique, il a déclaré sur i-TELE : « Il ne faudrait quand même pas que les propos de Marine Le Pen servent de prétexte pour construire encore plus de mosquées, d’autant plus qu’en réalité ce n’est pas le problème« .

« Il s’est construit des centaines de mosquées récemment en France et ceux qui prient dans la rue ont une volonté ostentatoire qui ne résulte pas de l’étroitesse de la mosquée« , a-t-il ajouté.

« Il y a trop d’immigration africaine et musulmane en France. C’est ça le problème« , a poursuivi le chef de file du Front national en Rhône-Alpes.

« Si vous faites venir les gens, bien sûr ils demanderont à pratiquer leur religion« , et « plus progressivement, comme c’est une colonisation de peuplement, ils imposeront leur moeurs, leurs pratiques, leurs coutumes au voisinage. C’est ce qui se passe« , a-t-il ajouté.

« Moi, a encore dit M. Gollnisch, je suis pour l’inversion de ce courant. Quand on prend la question par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire la liberté du culte, eh bien ! on se plante complètement« .

En outre, Bruno Gollnisch préconise que l’on demande la « réciprocité sur le plan international. En Arabie Saoudite, par exemple, où il y a des millions de chrétiens, on ne peut pas construire la plus petite chapelle« , a expliqué l’élu régional.

« Et puis, efforçons nous d’inverser le courant de cette immigration !« , a-t-il insisté. « La plupart des gens qui sont ici maintenant sont venus sans contrat de travail. Je trouve qu’ils sont trop nombreux« , a-t-il conclu.

Dépêche AFP

Violence faites aux femmes : quand les coutumes étrangères deviennent plus fortes que les lois françaises

FRONT NATIONAL

Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
Paris, le 6 octobre 2010

Violence faites aux femmes :
Quand les coutumes étrangères deviennent plus fortes que les lois françaises

Décidément La cité du Mâle (reportage sur la situation dégradée des jeunes femmes dans certaines cités) n’en finit plus de créer la polémique. Abordant un sujet délicat : celui du machisme des jeunes des cités, il a été tourné à Vitry-sur-Seine en bas des tours du quartier où, en 2002, Sohane Benziane, a été assassinée, brûlée vive. Après une première déprogrammation début septembre (la cité du mâle exercerait-elle sa loi jusque dans le bureau du directeur d’Arte ?) il est finalement diffusé jeudi dernier. J’apprends maintenant que c’est au tour des membres de la maison de production d’être menacée de mort par les gamins filmés qui se sont rendus au siège de Doc en Stock pour y lancer : « on va vous brûler, on reviendra et on vous brûlera tous » *.

Ce refrain n’est pas nouveau. Ils ont brûlé Chahrazad, tué Sohane, étranglé Fatima. Ces meurtriers sont en général des proches, souvent des frères, gardiens de la virginité des filles et des sœurs. Au fond, dans les cités, il n’y aurait que deux façons d’être une femme : ou voilée, ou violée.

Le décalage des civilisations apparaît crûment dans le reportage. Ces gamins qui se réclament de l’Islam et qui tiennent les murs sont peut être minoritaires mais ce sont eux qui font l’ambiance de la cité pendant que les autres sont à l’école, à la fac, au boulot. Ce sont eux qui parlent le plus fort, eux qui insultent les filles. Ils sont la minorité violente qui impose sa vision des choses à toute une communauté, où s’opère une sorte d’assimilation à l’envers : soit des nôtres ou tu seras notre ennemi.

Au Front National nous osons dire que la montée des violences faites aux femmes est concomitante avec l’arrivée en masse d’une immigration extra-européenne dont la culture, les traditions sont absolument contraire aux nôtres.

* le parisien 5 octobre 2010