Paul le Morvan : « Pour Bruno Gollnisch, par fidélité à Jean-Marie le Pen »

L’avenir de la résistance nationale est entre nos mains. Nous allons élire le successeur de Jean-Marie LE PEN.

Cette élection est libre. Ce n’est pas aux médias ni à personne d’autre d’indiquer à l’avance le résultat de celle-ci. Et d’ailleurs, beaucoup seront surpris par le résultat.

En tant que Secrétaire Départemental de la Mayenne, j’ai parrainé Bruno GOLLNISCH. Il est le mieux à même de diriger notre Mouvement et sera le meilleur candidat à la Magistrature Suprême.

La droite ligne, toujours défendue par Jean-Marie LE PEN, sera, avec lui assurée, notre famille rassemblée. C’est donc par fidélité à Jean-Marie LE PEN que je soutiens la candidature de Bruno GOLLNISCH à la Présidence de notre Mouvement.

Pour reprendre l’image du Président sur la conduite automobile, ce n’est pas seulement la vitesse qui est le plus important, mais la Direction. Or, avec Bruno, nous connaissons la Direction. Avec lui, nous avons l’assurance que notre mouvement conservera l’esprit de l’Amitié Française, le respect des valeurs de l’ordre naturel et non l’inversion de celles-ci.

Le FRONT NATIONAL a jusqu’à présent toujours été dirigé par un homme d’exception. Il a besoin d’un homme hors du commun. Nous l’avons. Il nous a été désigné depuis longtemps et à maintes reprises par le Président : c’est Bruno GOLLNISCH.

Pour l’avenir de notre mouvement et de notre pays, je voterai Bruno GOLLNISCH. Le résultat de cette élection enverra un signe fort aux nationaux de tous les pays.

Paul LE MORVAN
Secrétaire Départemental de la Mayenne

Hugues Petit : « Bruno Gollnisch, successeur naturel de Jean-Marie le Pen »

Comme militant, Conseiller régional, Président du Conseil scientifique du FN et membre du Bureau Politique, j’ai collaboré pendant près de 25 ans avec Bruno Gollnisch. Cela m’a permis d’apprécier les exceptionnelles qualités qui sont les siennes.

Une fidélité absolue et de longue date à la cause nationale ainsi qu’à la civilisation chrétienne composante essentielle de l’identité de notre pays et sans laquelle il serait parfaitement vain de prétendre lutter contre son islamisation.

Un admirable talent de parole et de plume, qui lui vaut dans toutes les assemblées où il siège l’admiration et le respect, même de la part de ses adversaires les plus fanatiques.

Une longue expérience et une vaste culture politique, qui lui ont permis, en maintes circonstances, d’opérer les choix conformes au bien commun de notre patrie, quitte à renoncer à des avantages électoralistes à courte-vue.

Un grand courage physique et moral, que j’ai constaté au quotidien, en particulier lorsque, pour avoir défendu la liberté d’expression, il était traîné dans la boue par son Université et la quasi-totalité des médias. Deux fois condamné par des juridictions lyonnaises, seule son inlassable combativité et sa parfaite connaissance du droit lui ont permis d’être innocenté par la plus haute juridiction de notre pays.

Bruno a, par-dessus tout, une très rare capacité à rassembler les hommes et les femmes de toutes origines, de toute famille de pensée, de tout caractère. Il est le seul président de groupe régional important qui ait su conserver au Front National l’ensemble de ses élus au cours de la dernière mandature. Pas un ne l’a quitté.
Les combattants de la cause nationale sont trop peu nombreux pour que l’on se console du départ d’un seul d’entre eux. Comment rassembler les Français, si l’on n’est pas capable de réunir d’abord l’indispensable fer de lance de la reconquête au sein du Mouvement national ?

Toutes ces qualités ont permis hier à Jean-Marie Le Pen de constituer une force politique de premier plan, maintenant solidement implantée dans l’espace politique de notre pays. Nul autant que Bruno ne possède aujourd’hui de façon aussi éminente ces indispensables qualités. Il est donc le successeur naturel de Jean-Marie Le Pen.

Tout ceci apparaît chaque jour davantage, contraignant les médias à donner enfin (un peu) la parole à celui qu’ils disaient vaincu d’avance. Chaque téléspectateur peut ainsi constater que l’an prochain, Président du Front National, Bruno Gollnisch pourra sans rougir prétendre à la magistrature suprême et, si Dieu le veut, entreprendre l’indispensable œuvre de redressement.

Hugues PETIT
Président du Conseil scientifique du Front National
Membre du Bureau Politique
Ancien Rapporteur général du Budget
de la Région Rhône-Alpes

Frédéric Cabrolier quitte le Comité de soutien de Marine le Pen et rejoint Bruno Gollnisch !

Pourquoi je rejoins Bruno Gollnisch

Chers camarades,

Je pensais que la meilleure posture dans une bataille fratricide, était de se situer au dessus des partis, mais le courage en politique est de dire sa vérité et de monter en première ligne quand l’intérêt supérieur du parti ou du pays l’exige.

Je mesure la portée de cet engagement public pour quelqu’un qui préférait encore il y a peu la candidature de Marine, et je pense toujours qu’elle devrait être notre candidate aux futures présidentielles, mais il ne faut pas se tromper d’élection et nous ne votons pas pour la désignation de notre futur candidat aux Présidentielles mais pour la présidence du Front National.
Or au dessus de la politique, je place la morale, et je pense que le fonctionnement interne du Front National doit être en adéquation avec la morale publique que nous souhaitons défendre.

Je souhaite à l’avenir un Front National dans lequel la parole des militants qui montent au front ait plus de valeur que celle de ceux qui préfèrent fuir un combat qui leur parait perdu d’avance.

J’ai toujours considéré que le Front National appartenait d’abord aux militants et était un outil au service des Français et non une machine à accorder des places.
Or, il me semble que Bruno, de par son parcours, sa fidélité et son extrême droiture est le plus à même pour opérer ce retour à la méritocratie.

De plus je crois que l’on ne peut gagner des élections qu’en rassemblant d’abord le camp national, et Bruno Gollnisch, homme de rassemblement et de mesure, me semble le plus apte à accomplir cette tâche historique.
Enfin je suis sensible aux propositions de Bruno Gollnisch en direction des fédérations, car à quoi servirait un Front National à 20% aux présidentielles, sans implantation locale, comme l’a démontré le 21 Avril 2002 ?

Frédéric CABROLIER,
Tête de liste aux dernières Elections Régionales en Midi-Pyrénées

Quand la jeunesse, l’avenir, le travail et la culture soutiennent Bruno Gollnisch

Katell Mautin 29 ans, mariée, 5 enfants :

Je m’apprête à mettre au monde un bébé. Ses grandes sœurs sont impatientes, chacun se réjouit d’avance. Pourtant quel avenir préparons-nous à nos chères têtes blondes ?

Pour qu’elles grandissent, je veux un environnement sain. Pour les instruire, je veux des écoles libres. Pour qu’elles s’épanouissent, je veux une société de valeurs.

C’est pourquoi j’ai régulièrement été candidate sous les couleurs du FN dès que j’ai eu 18 ans. Je sais aussi que l’électoralisme peut être un piège lorsqu’à trop se prendre au jeu de la compétition, on oublie parfois le sens de son engagement initial. Aussi, garder les idées claires en toutes circonstances et soutenir ses amis dans le succès comme dans l’épreuve, voilà les qualités nécessaires pour mener notre Mouvement à la bataille.

C’est pourquoi je crois que Bruno Gollnisch est, de loin, le plus qualifié pour présider le Front National.

Matthieu Mautin 34 ans, marié, 5 enfants
Ancien secrétaire régional FNJ en Région-Centre
Co-animateur national du FNJ campagne présidentielle 2001-2002
:

Je suis tailleur de pierre. Mon métier me procure l’incomparable privilège de vivre notre patrimoine au quotidien. Je dis bien de vivre car qu’il soit artistique, culinaire, intellectuel ou que sais-je encore, le patrimoine est avant tout un art de vivre et non un produit de consommation… Quoi qu’en pensent les vautours du mercantilisme ultralibéral.

Saint Denis, nécropole Royale ! Il est des ignares pour ne voir dans ce chef d’œuvre qu’un souvenir religieux du temps passé : Evidemment non. Ce vaisseau de pierre plus que millénaire a un visage : Il est le portrait de notre peuple taillé dans la pierre. Blessée par les guerres, souillée par les révolutions, engloutie par l’invasion… Preuve matérielle d’un formidable essor technique et intellectuel, témoignage d’un immense génie politique, mémorial d’une offrande spirituelle. La basilique reste fièrement là et sur ses murs est gravé le grand livre de notre histoire. Il reste sur ce livre bien des pages à écrire.

Entendez l’appel lancé à Saint Denis : Notre patrimoine n’est pas un pieux souvenir mais un socle pour bâtir aujourd’hui. Avec Bruno Gollnisch, Président du Front National, au travail !

Eliane de la Brosse : « Bruno Gollnisch : des qualités essentielles »

BRUNO GOLLNISCH : DES QUALITES ESSENTIELLES

Depuis 23 ans au Front National, Membre du Comité central, du bureau départemental du Var et ancien conseiller général FN, j’apporte mon soutien total à Bruno GOLLNISCH, haute personnalité du Front National dont il est le deuxième vice-président, après R.Holeindre (dont il a le soutien) et premier du Comité Central depuis l’an 2000.

Toute mon estime et mon admiration lui sont acquises pour sa totale loyauté au Front National et à son Président Jean-Marie LE PEN depuis tant d’années. Sa lucidité politique et sa maîtrise lui permettent le plus grand contrôle de lui-même notamment dans les moments les plus difficiles de la vie politique au quotidien.

Polyglotte (13 langues), sa grande culture, sa droiture, sa volonté sans faille et sa fidélité sont les qualités essentielles pour succéder à Jean Marie LE PEN.

Tout comme Roger Holeindre, je ne suis nullement choquée par ses appels à l’unité des patriotes qui le souhaitent, mais bien entendu dans le strict cadre d’une discipline absolument nécessaire à notre difficile combat.

Bruno GOLLNISCH saura faire le lien et la Réconciliation. Il a toute ma confiance, persuadée qu’il conduira le Front National à la Reconnaissance et à la Victoire pour l’avenir de la France.

Eliane de la Brosse,
Membre du Conseil Central du FN,
Membre du bureau départemental du Var