Provocation

Nanterre, le 12 novembre 2010

COMMUNIQUE
DE BRUNO GOLLNISCH

Vice-Président du Front National

PROVOCATION

J’apprends qu’une prétendue Cécile Gollnisch, se réclamant de ma famille, dispose d’un profil Facebook où elle est supposée soutenir ma candidature à la Présidence du Front National, et attaquer Marine Le Pen.

Je n’ai aucune parente prénommée Cécile. Ce profil est à l’évidence une provocation contre laquelle je mets en garde les internautes.

Toutes les démarches nécessaires seront entreprises pour la faire cesser.

Sortie imminente du livre de Bruno Gollnisch: Une volonté, un idéal

BRUNO GOLLNISCH 
Une volonté, un idéal
 
Date de parution : 13 novembre 2010
prix de vente : 20 €, 288 pages.
éditions SNEP

Le Front national c’était Jean-Marie Le Pen, soutenu par ces hommes de l’ombre au premier rang desquels figure Bruno Gollnish. L’arrivée au second tour en 2002, c’était lui. Lui, le directeur de campagne, lui aussi qui, durant toutes ces années, sur le terrain, a contribué à faire du Front national le premier parti ouvrier de France.

Bruno Gollnisch est volontairement toujours resté dans l’ombre de Jean-Marie Le Pen.

Ses détracteurs peuvent toujours dire de lui qu’il est trop « courtois » ou « trop discret ». C’est surtout l’hommage du vice à la vertu… Car voici venir le temps de l’ambition : celle de faire du FN le premier parti de France, à l’heure où le siphonnage de l’électorat FN par Nicolas Sarkozy a montré son visage grotesque. A travers un retour sur 30 ans de vie politique française, Bruno Gollnisch entend expliciter son engagement et ses ambitions.

Un livre programme, un livre indispensable pour qui veut comprendre le FN qui se construit aujourd’hui.

Extraits :

« Je sais que le Front National est à la croisée des chemins. Je suis convaincu que de grandes perspectives s’ouvrent devant nous, pour peu que nous rejetions les ferments de la division, fassions front commun devant l’adversité et que la flamme tricolore continue à briller dans le cœur de chacun d’entre nous. Si nous sommes réunis, elle deviendra brasier. »

« Les membres du Front National ne se laisseront pas tromper une fois de plus par les partisans du déclin, les apôtres du renoncement, ni par ceux qui viendront une nouvelle fois les solliciter en promettant de faire demain ce qu’ils n’ont pas pu, pas su ou pas voulu faire durant les décennies au cours desquelles ils ont occupé des responsabilités gouvernementales ! La renaissance de la France est à la portée des militants nationaux ; s’ils souhaitent me placer à leur tête, je n’ai qu’une chose à leur dire : je suis prêt. »

Vice-Président exécutif du Front National, député français au Parlement européen depuis 1989, Président du groupe FN au Conseil régional Rhône-Alpes depuis 1986. Arrivé devant Marine Le Pen aux élections des trois derniers congrès internes FN, Bruno Gollnisch est candidat à la succession de Jean-Marie Le Pen pour la présidence du Front National dont le congrès se tiendra les 15 et 16 janvier 2011.

PS : on vous indiquera, dès qu’il sera sorti, le moyen de vous procurer le livre de Bruno Gollnisch.

Syndicalisme ou sabotage : la CGT doit répondre de ses agissements

FRONT NATIONAL

Perpignan, le 4 novembre 2010

Communiqué de Bruno Gollnisch,
Vice-Président du Front National

Syndicalisme ou sabotage ?
LA CGT DOIT REPONDRE DE SES AGISSEMENTS

Dans la ligne du sabotage de l’économie française qui caractérise l’action de ses dirigeants, la CGT persiste à organiser le blocage de routes, d’autoroutes, d’aéroports (comme celui de Toulouse), de ports maritimes, etc.

Loin de gêner le gouvernement, ces blocages frappent avant tout les salariés qui se rendent à leur travail et les entreprises, et font peser une menace sur l’emploi.

En outre, ces actions délictueuses ne rencontrent la plupart du temps que la passivité des autorités. Elles n’ont cependant rien à voir avec le droit de grève, ni avec le droit de manifester.

Le droit de grève, c’est le droit de cesser collectivement le travail, et rien d’autre.

Le droit de manifester, c’est celui d’exprimer son opinion, et rien d’autre.

La CGT doit être rendue civilement et pénalement responsable de ses agissements. Ses dirigeants doivent en répondre. Nul en France n’est au-dessus des lois, et surtout pas cette organisation, directement responsable, entre autre, du déclin des ports de Marseille, du Havre, et de bien d’autres entreprises françaises.

Sur les élections américaines

FRONT NATIONAL

Paris, le 3 novembre 2010

Communiqué de Bruno Gollnisch
Vice-Président du Front National
(affaires internationales et programmatiques)

Sur les élections américaines

Le résultat des élections de « Mid-term » aux Etats-Unis, très favorables à la droite républicaine, et surtout l’émergence des « Tea-Party », manifestations spontanées d’électeurs, traduisent une véritable volonté populaire de retour aux valeurs traditionnelles, et une insurrection pacifique contre le fiscalisme et la bureaucratie.

Le mondialisme bénéficie de l’appui des milieux politiques de Washington et des milieux financiers de New-York, mais pas de l’Amérique profonde, contre laquelle ses ravages se font aussi sentir.

Après l’émergence de partis patriotiques en Europe, cette prise en main de son destin par une partie notable du peuple américain, contre l’establishment, préfigure de nouveaux succès des peuples en lutte pour la défense de leurs identités culturelles, économiques, politiques et spirituelles.

Soutien aux salariés victimes des patrons-voyous

Paris, le 28 octobre 2010

Communiqué de Bruno Gollnisch
Député européen, Vice-Président du front National

Soutien aux salariés victimes de patrons-voyous.

Il y a une semaine, Christian Estrosi, ministre de l’Industrie, annonçait que l’État allait prendre à sa charge le paiement du plan social et des arriérés de salaires des anciens employés de l’usine Molex de Villemur-sur-Tarn. L’équipementier automobile a fermé ce site il y a tout juste un an et refuse désormais de payer ce qu’il doit à ses anciens salariés.
Hier, le groupe révélait avoir réalisé un bénéfice trimestriel net record de 54 millions d’euros, rendant son attitude plus scandaleuse encore. Il n’est pas acceptable que la France en soit réduite à demander à d’autres groupes industriels de cesser de travailler avec Molex, et se contente de payer à la place de financiers qui se croient au-dessus des lois.
Christian Estrosi a raison de dénoncer l’attitude de Molex. Mais qu’a fait Nicolas Sarkozy depuis son arrivée au pouvoir contre les pratiques d’un certain patronat que nous ne confondons pas avec les véritables entrepreneurs ? Rien, puisqu’ils se moquent avec autant de mépris des travailleurs français et de nos lois. Qu’a fait Nicolas Sarkozy en matière de politique industrielle ? Rien puisque l’emploi industriel en France continue de s’effondrer : en 8 ans, la France a perdu 15% de ses emplois dans l’industrie, 630 000 hommes et femmes ont été ,mis au chômage, ou leurs postes n’ont pas été remplacés.
L’indignation n’est pas l’action. La France ne peut pas se contenter de ministres ou d’un président qui, à chaque mauvaise nouvelle, apparaît à la télé pour laisser éclater un mécontentement à visée médiatique, qui n’est jamais suivi de mesures concrètes, touchant durablement au fond des problèmes.
J’apporte tout mon soutien aux anciens salariés de Molex qui subissent une nouvelle épreuve. Le gouvernement doit faire appliquer le droit, et faire rendre des comptes à cette société dans les plus brefs délais.