Ces nouveaux ralliements à Bruno Gollnisch laissent augurer le meilleur !

Après Frédéric Cabrolier, tête de liste en Midi-Pyrénées aux dernières élections régionales et Rémy Boursot, Secrétaire départemental et conseiller régional de Côte-d’Or, ce sont deux nouveaux cadres frontistes qui viennent de quitter le comité de soutien de Marine pour se rallier à la candidature Gollnisch.

Il s’agit de  Françoise Moreau,  Secrétaire Départementale de la Corrèze et  de Dominique Vosgien, membre du bureau départemental des Yvelines, candidat aux élections sur le canton du Chesnay et ancien secrétaire de la 4ème circonscription des Yvelines.
Ce sont les qualités de rassembleur et la fidélité de Bruno Gollnisch aux valeurs portées par le FN qui sont mises en avant par ces deux nouveaux soutiens.

Dans la dernière ligne droite de cette campagne interne, la dynamique est incontestablement du côté du vice-président du FN. Il  avait d’ailleurs  invité les journalistes au début de celle-ci à méditer sur la fable de la Fontaine, « le lièvre et la tortue »…

Ce nouvel élan en faveur de l’élection de Bruno  Gollnisch à la présidence du FN serait encore plus manifeste si de nombreux cadres frontistes, engagés parfois officiellement derrière Marine, n’étaient pas retenus par la « timidité »… et déclaraient à hautes voix le soutien qu’ils manifestent tout bas à Bruno.

le webmaster

Marcel Alonso : Bruno Gollnisch ou « l’honneur d’un capitaine »

Je voterai pour Bruno Gollnish car il est, à mes yeux, l’héritier légitime du FN.
Comme Jean Marie LE PEN, qui incarna 50 ans durant, l’éternelle révolte du Juste contre le Tyran, Bruno Gollnish, aujourd’hui, poursuit âprement ce cri d’Antigone contre Créon, le « non possumus » chrétien de Blandine à Lyon, ou le « vive la France » de Bastien-Thiry au Fort d’Ivry.

L’officier Français parti, il y a 50 ans défendre l’Algérie Française a eu un fils spirituel qui, aujourd’hui, en toge de Doyen d’Université, défie les Palais de (in)Justice, en attendant de nettoyer au plus tôt les écuries d’Augias, si nous lui en donnons les moyens.

Pour cela, il a d’incomparables qualités. D’abord celles du marin qui sait que si l’habileté est suffisante pour faire face aux « coups de tabac », la boussole, elle, est nécessaire pour conduire au port.

A l’intelligence vive, non dénuée d’humour, il allie une grande Culture, issue du terroir alsacien profondément chrétien, d’une éducation exemplaire (laïque et religieuse), d’un parcours professionnel prestigieux, d’engagements politiques sérieux et clairvoyants, enfin d’études sociales et économiques approfondies d’où est issu l’édition officielle du Programme du FN.

De plus, il sait, de par sa profonde éducation, être avant tout bon et généreux, tempérer la vivacité de l’esprit par une courtoisie…ferme et polie. Cela fera son succès lorsque les médias ne pourront plus l’occulter !
Enfin, il tient du Chef auquel il devrait légitimement succéder, le refus constant d’avoir à honorer une Histoire qui, de Katyn à Gayssot, du « je vous ai compris » à « yes we can » continue de déboussoler la France, et avec elle l’Europe et le Monde.
Pour moi, exclu d’Algérie pour crime de francité, Bruno est bien l’héritier du Jean-Marie que j’ai aimé.

Marcel ALONSO,
Expert en Géosciences (évaluation internationale des réserves pétrolières),
Ancien directeur d’Elf-Aquitaine,
Ancien chef des laboratoires de physique des gisements pétroliers.
Membre du Conseil Scientifique du FN.

Bruno Gollnisch dans le Morbihan (2)

Bien sûr, après son exposé, Bruno Gollnisch se prêtait au jeu des questions-réponses.
Deux remarques furent développées aussi par un auditeur : l’une portait sur le domaine international, l’autre sur la question régionaliste.

De l’importance d’avoir une notoriété internationale !
— Bruno Gollnisch fait preuve d’une grande constance dans l’accomplissement de son mandat de député européen. S’il est très présent physiquement, il est aussi très actif : nombreuses prises de parole, travail en commissions, contacts avec ses homologues, relations avec les partis ‘frères »…

On aimerait que tous nos « députés » soient aussi sérieux et travailleurs !

— On le sait, malheureusement, les décisions politiques qui nous concernent sont plus souvent prises à Bruxelles qu’à Paris. D’où l’importance d’élire un président du Front National qui ait une stature internationale. La défense de nos intérêts et de notre souveraineté dépend grandement de ce profil.

Sans comparaison possible, en ce domaine comme en de nombreux autres, Bruno Gollnisch c’est vous qui emportez la palme !

Jean Leclerc

Ce lundi 6 décembre, Bruno Gollnisch était dans le Morbihan (56)

Jean-Paul Félix, le SD local, bien que supporter de Marine Le Pen, l’a accueilli « avec tous les honneurs dû à son rang », comme dit la formule. Merci à lui !
Belle assemblée, candidat en pleine forme, paroles de vérité, rappels de programme… Applaudissements bien mérités !

Mais, en ce 6 décembre, pour les plus jeunes, il est instructif de faire l’analyse des événements vécus par les plus anciens…

5 et 6 décembre, trois dates emblématiques !

Deux événements sont là pour nous le rappeler.

Et la rencontre d’aujourd’hui pour nous donner espoir…

Le 6 décembre 1965, il y a 45 ans, nous avions la gueule de bois !

La veille, le 5 décembre, se déroulait la première élection présidentielle au suffrage universel.
Le général De Gaulle se retrouvait pourtant en ballotage. Maigre consolation !

Malgré une belle campagne électorale, menée avec entrain par Jean-Marie Le Pen alors directeur de campagne, Jean-Louis Tixier-Vignancour, notre candidat, atteignait péniblement les 5 %. Gros coup de blues pour les militants !

On connaît la suite : faute d’une structure politique solide, le Comité TV volait en éclat. Après une traversée du désert de plus de 15 ans, il faudra attendre le « coup de tonnerre » de Dreux pour que le Front National décolle vraiment, grâce au duo de choc Jean-Marie Le Pen et Jean-Pierre Stirbois.

Continuer la lecture de « Ce lundi 6 décembre, Bruno Gollnisch était dans le Morbihan (56) »