Mise au point

Par Amaury NAVARRANNE
Membre du bureau départemental FN Var
Coordinateur régional de la campagne de Bruno Gollnisch 

 

« Une erreur et un mensonge qu’on ne prend point la peine

de démasquer acquièrent peu à peu l’autorité du vrai. »

 

Charles MAURRAS

 

C’est avec stupéfaction que je lis une fois de plus dans Var Matin de ce dimanche 7 novembre 2010 que notre secrétaire départemental, Frédéric Boccaletti, réitère le bruit qu’il essaye de faire courir sur la volonté de Bruno Gollnisch de réintégrer Jacques Bompard au sein du Front National.

Frédéric Boccaletti était pourtant présent avec moi au Barroux dans le Vaucluse la semaine dernière ; à aucun moment le candidat à la succession de Jean-Marie Le Pen n’a parlé de Jacques Bompard, il n’a pas mentionné son nom, ni celui de la Ligue du Sud. Le nom de Jacques Bompard n’a été relayé que par la presse, JAMAIS par Bruno. Cela est donc de la désinformation. Mais il faut bien trouver un sujet pour critiquer Gollnisch… Alors Frédéric Boccaletti préfère écouter La Provence plutôt que son vice-président…

L’homme que nous pensons le plus apte à succéder à JMLP souhaite bien sûr créer, une fois président de notre mouvement, les conditions de l’unité des patriotes. A deux conditions rappelle-t-il à chaque fois, ce que ses détracteurs omettent toujours de préciser : la volonté sincère et exprimée des intéressés au retour (demande que Jacques Bompard n’a pas faite d’ailleurs !), et l’acceptation des instances dirigeantes du FN de reprendre dans ses rangs ces enfants égarés. C’est d’ailleurs par cette démarche que Frédéric Boccaletti est revenu au FN il y a deux ans…

Car Frédéric, c’est à toi à présent que je m’adresse. Toi qui as été scissionniste en 1998 avec le MNR. Epoque où TOUS CEUX qui nous ont quittés le faisaient en critique ouverte envers Jean-Marie Le Pen, souvent grossièrement, à qui vous vouliez voler le Front National. Même Marine n’échappait pas à la critique : Nicolas Bay (aujourd’hui très proche de Marine et secrétaire régional FN en Normandie) la traitait en 2004 de Tanguy de la politique : « à 36 ans, elle habite dans le château de son père à Saint Cloud, elle est payée par son père au siège du FN », lorsqu’il se présentait contre elle aux régionales en Île-de-France. Il alla même jusqu’à lui reprocher son manque d’idées et de doctrine, doutant ainsi de sa solidité. Moins de cinq ans après, on réintégrait aussi Nicolas Bay.

J’aimerai te rappeler, Frédéric, à ne pas trop t’égarer. Quand il s’agit de la raison d’état, rappelait Jean-Marie Le Pen en 2007 aux côtés de Bruno Mégret, il faut écarter les ressentiments personnels. Bruno Gollnisch reste dans cette haute vision.

Tu ne peux attaquer un homme comme Bruno Gollnisch, toujours fidèle au Front. Dans ses voiles à lui, le vent de la scission n’a jamais soufflé ! Je t’en prie, ne cherche pas à monter les frontistes les uns contre les autres, et à créer par là les conditions d’une nouvelle fracture.

Nous devons tous être des partisans de la camaraderie et de l’unité !

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Gollnisch, reviens, ils sont devenus fous ! (2/2)

Nous exposions la dernière fois la place que devaient tenir les sujets de société dans la vie politique, lesquels déterminent la place de l’homme dans la communauté : et nous affirmions ainsi que le programme sociétal du Front était la colonne vertébrale autour de laquelle devait s’articuler son projet politique. Aux antipodes, Marine le Pen affirme quant à elle que ces questions ne sont pas prioritaires, renonçant ainsi à une vision profonde de la société française, refusant de voir les causes les plus hautes de ses maux actuels.

Mais il est intéressant de souligner que l’indifférence de Marine le Pen à l’égard de certaines positions pourtant fondamentales du Front National se révèle également dans sa stratégie politique. Car à vouloir émanciper le Front de ses forces d’enracinement -ainsi que le signifie son refus de rassembler sa propre famille politique pour aller draguer immédiatement un électorat souvent éloigné de nos positions- on s’expose à un délitement et à un affaissement progressif du programme que vérifie d’ailleurs la sociétalisation actuelle du discours. Que mettent également en évidence les récentes prises de position des partisans de Marine le Pen, en poste et en responsabilité dans le mouvement malgré leurs divergences objectives, explicites et avouées avec notre programme politique. L’expérience nous enseigne cependant que toute modification du discours, en vue de diminuer ou d’atténuer l’expression de notre pensée politique, en vue d’estomper certains fondamentaux, a vocation, après s’être imposée dans l’opinion, à être intégrée dans le programme : il y a là en effet une pente naturelle.

Nous pensons au contraire que notre combat doit s’ancrer définitivement, et c’est l’enjeu de cette échéance interne, dans la défense d’un certain nombre de valeurs non négociables. Lesquelles révèlent une commune structure de pensée à l’ensemble de la droite patriote, dont témoigne en l’occurrence notre attachement indéfectible à l’enracinement familial, national, moral et culturel.

Sur la base de ces valeurs non négociables, autour de notre projet, il nous appartient donc de créer une dynamique de rassemblement. Mais une telle dynamique doit reposer sur un socle idéologique solide. Car tout édifice dont les fondations sont ébranlables et mouvantes menace de s’écrouler sur lui-même. Aussi bien nous voulons tous fédérer l’ensemble des français, et nous y serons parvenus lorsque nous aurons obtenu 100% des suffrages. Mais encore faut-il commencer par rassembler notre propre famille politique avant d’élargir le cercle de notre électorat. Quel crédit peut-on avoir lorsque, prétendant rassembler l’ensemble des électeurs, on n’a pas été en mesure de fédérer auparavant sa propre famille de pensée ?

Alors pour discréditer cette volonté de rassemblement, Marine le Pen développe une rhétorique qui rappelle étrangement celle de nos adversaires politiques. Afin de disqualifier dans l’opinion certains courants de pensée, le système leur associe en effet bien souvent de vilaines étiquettes. Procédé tout de même plus commode qu’une argumentation construite, et que Marine le Pen ne s’interdit pas de reprendre à son compte. Voilà donc Bruno Gollnisch accusé de vouloir rassembler l’« extrême droite ». Nous ne saurons jamais ce en quoi consiste l’ « extrême droite », mais c’est égal. Savoir que le Front National et Jean-Marie le Pen ont été victimes, et le sont encore, de ce discours convenu et académique ne semble pas troublé la prétendante. Le problème cependant, c’est que les « traitres » et les « félons » auxquels Marine le Pen fait allusion ont été cadres au Front National durant de nombreuses années, participant à la rédaction de son programme, et n’ont pas modifié leur ligne doctrinale en le quittant. Il était donc temps de s’apercevoir que le Front National avait longtemps été tributaire d’une idéologie « extrémiste ». Marine le Pen elle-même n’avait-elle pas affirmé, lors du départ de Carl Lang, qu’il n’existait entre eux aucune divergence idéologique, feignant ainsi de s’étonner d’une telle rupture ? On cherche à comprendre…

Jean

Gollnisch, reviens, ils sont devenus fous ! (1/2)

Les soutiens de Marine le Pen dérapent, la caravane passe

Il y a quelque chose d’intriguant dans la manière dont l’appareil frontiste aborde actuellement les problèmes. Parce que nous ne sommes pas marxistes, nous savons qu’il n’y a pas de conflit d’intérêts, mais simplement une hiérarchie d’intérêts. Il reste que la manière dont chacun conçoit cette hiérarchie s’avère bien souvent révélatrice…

Bruno Gollnisch est sommé par le secrétaire général du mouvement de retirer la flamme tricolore de l’affiche annonçant la « Fête des patriotes », manifestation de soutien à sa candidature. Nous n’entrerons pas dans le détail des questions juridiques : elles nous paraissent futiles, à vrai dire dérisoires. Mais dans le même temps, les dérapages des soutiens de Marine se multiplient, mettant en cause directement les valeurs portées et défendues par notre programme politique. Etrange silence des responsables en poste, pourtant constamment à l’affût, traquant le moindre faux pas des partisans de Bruno Gollnisch, prêts à tout moment à leur porter l’estocade…

Faisons le point. Dans les Yvelines, une toute récente transfuge du NPA, totalement éloignée des positions sociétales du Front National, promouvant la libéralisation du cannabis, le mariage homosexuel et l’avortement, se voit mystérieusement confier des responsabilités aussi vite qu’elle a rejoint l’appareil. Les rédacteurs de NPI se fendent, en bons socialistes, d’un article pourfendant l’école libre -article aussitôt retiré devant les réactions bien légitimes qu’il avait provoquées. Tout récemment, le secrétaire départemental adjoint des Hauts-de-Seine s’en prend violemment aux catholiques en les traitant de grenouilles de bénitier. Enfin, un candidat aux cantonales, dans les Hauts-de-Seine, se déclare ouvertement hostile aux positions du Front National sur la famille et l’avortement. Soulignons qu’il est vice-président du « Parti du Respect » qui milite pour « obtenir le mariage pour les couples homosexuels« , et pour « obtenir l’adoption pour les couples homosexuels » . Manifestement, cette double appartenance est moins inquiétante que d’autres, et moins grave que la participation des militants au congrès du Renouveau Français. Décidément, on marche sur la tête. Ils veulent donc tout détruire ! Gollnisch au secours, ils sont devenus fous !

Notons, puisque certains feignent malhonnêtement de ne pas le comprendre, qu’il ne s’agit aucunement d’attaquer personnellement ces gens là : mais puisqu’ils assument des responsabilités publiques, leurs positions politiques les engagent et peuvent bien légitimement soulever l’indignation lorsqu’elles rentrent en contradiction avec les valeurs défendues par le mouvement. Et nous observons que ces responsables là sont tous des soutiens affichés de Marine le Pen, menant campagne en sa faveur.

Alors, il serait utile que l’on éclaire nos lanternes. Car je dois avouer avoir naïvement pensé un temps que l’appareil frontiste était un instrument dont la vocation consistait à se faire l’écho de notre projet sociétal et politique dans le paysage français. Qu’il devait porter bien haut nos aspirations, promouvoir notre idéal, représenter notre courant de pensée sur l’échiquier politique. Sans quoi il n’était qu’une coquille vide. Or quand nous observons dans l’entourage de Marine le Pen le mépris affiché des positions défendues par le Front, et l’inertie des responsables marinistes, souvent complices, sinon responsables de ces écarts, devant un tel scandale, nous sommes en droit de nous interroger sur ce que serait demain le Front National entre les mains de Marine le Pen.

Mais comment se fait-il que l’appareil soit plus enclin et plus rapide à dénoncer l’usage de la flamme tricolore par l’un des candidats à la succession du président, plutôt qu’à dénoncer l’hostilité avouée d’un certain nombre de cadres ou de candidats marinistes au projet porté par notre mouvement ? Il y a là un étrange mystère…

Un vide sidéral

J’avais eu l’occasion déjà de manifester qu’il y avait entre Marine le Pen et Bruno Gollnisch deux structures de pensée bien distinctes que leurs conceptions respectives de la patrie mettaient en évidence. Je serai tenté, après ces dernières révélations, de penser qu’il n’y a non pas deux visions sociétales distinctes, mais une vision sociétale clairement assumée par Bruno Gollnisch et, de l’autre côté, un vide sidéral sur la question. En clair, les marinistes n’ont aucune boussole idéologique.

Pour preuve, l’aveu de NPI

Pour défendre l’équipe de Marine le Pen face à l’indignation qu’avaient suscité les prises de positions de ses partisans, NPI tentait récemment de nous expliquer que « ces thèmes ne sont que connexes au domaine de la lutte nationale ». Ou comment marginaliser les positions sociétales du Front. Or il s’agit là d’une regrettable erreur d’analyse de la part de nos concurrents. Car bien évidemment, les questions sociétales sont absolument centrales et incontournables dans le combat national. Les réponses qu’on y apporte révèlent la structure fondamentale d’une pensée politique et induisent une vision profonde de la société et de ses fondements. En dernière analyse, toute politique repose comme sur son socle sur une vision de l’homme et de sa place dans la société. Ne pas le comprendre, c’est refuser de percevoir les causes profondes du malaise social actuel, et c’est donc se contenter d’une lecture superficielle des problèmes auxquels les français sont aujourd’hui confrontés.

Considérez l’homme comme un sujet moral, et vous subordonnez la politique à la morale, et l’économie au politique, car vous savez que le bien commun consiste dans une certaine perfection morale, plus haute dimension qui habite la personne humaine. Au contraire, ôtez à l’homme sa dimension morale, voire spirituelle, et vous sombrez dans un matérialisme qui ravale l’homme à n’être qu’un consommateur ou un producteur, hypothèse partagée aussi bien par le libéralisme que par le communisme, qui ne sont jamais, en fait de doctrines politiques, que des pensées économiques. Ou l’avènement inéluctable d’une société marchande. Le même libéralisme, individualiste par essence, ignore que la société repose sur la famille, sa cellule de base, et lui préfère le citoyen. Absence de politique familiale et nataliste, promotion de l’avortement considéré comme un service, entraînent mécaniquement des lacunes éducatives et affectives, une difficulté démographique, les problèmes des retraites, une immigration de substitution, une crise par conséquent tout à la fois culturelle, identitaire et morale.

Aussi bien, les différentes positions du Front en matière sociétale ne sont pas une addition ni une juxtaposition d’ « opinions personnelles », sans unité ni cohérence, liées entre elles par l’arbitraire d’un rédacteur. Elles sont l’objet d’un véritable programme sociétal. Elles s’imposent chacune d’elles-mêmes lorsque que l’on interroge les implications ultimes du programme frontiste lequel, comme tout programme politique, situe tacitement la place de l’homme dans la société. Si bien qu’aucune des valeurs portées par notre projet sociétal ne peut être isolée ni négociée car elles s’inscrivent toutes dans une même structure de pensée et s’enracinent dans la même conception de la personne humaine et de la société française.

Cette vision s’oppose, en dernier ressort, à la pensée libérale qui, finalement, établit l’homme dans un rapport de propriété :

avec lui-même : « mon corps m’appartient »…l’individu est séparé de son corps et en est rendu propriétaire. Cette grave confusion entre le domaine de « l’être » et le domaine de « l’avoir » accompagne la transformation du corps en propriété privée, c’est-à-dire en marchandise. Dans cet horizon, toute dimension éthique a disparu.

avec la famille : le mariage, qui était jusque là un don d’amour total et définitif sur lequel reposait la famille, l’équilibre des enfants et celui de la société, est absorbé, dans une perspective individualiste et consumériste qui fait fi de l’intérêt de l’enfant et du bien commun, par le modèle du contrat qui peut logiquement être dissous, ou bien faire l’objet de toutes les expérimentations.

avec la nation : qui s’identifie donc au marché, dans le ciel duquel toute dimension culturelle voire spirituelle disparaît évidemment.

Que le Front National en vienne à renoncer à son projet sociétal, il en perdrait définitivement son âme. Sans famille française, il n’y a plus de France pérenne, et là où le poison libéral sème l’égoïsme consumériste et tue le sens du bien commun et des intérêts supérieurs, c’est l’âme française qui se consume à petit feu. En un mot, il ne peut y avoir de politique qui ne soit pourvue de sens et qui ne s’enracine dans la morale. Le problème auquel sont confrontés les français est un problème plus profond que ce que certains suggèrent: il est d’ordre moral et sociétal, avant d’être économique. Ce qui en jeu, c’est la survie d’une civilisation.

Le Front National à la remorque de l’UMP ?

Nous avions déjà observé que l’UMP courait après la gauche sur tous les sujets de société. Elle a toujours un train de retard, mais finit néanmoins par le rattraper. Il serait fâcheux que le Front se mette à son tour à la remorque de l’UMP.

Prenons l’exemple du PACS: la majorité s’y oppose lors du vote à l’assemblée, puis elle s’y raccroche, et enfin elle entend poursuivre son amélioration. Quels sont donc les principes sous-jacents à l’action de la droite parlementaire? Il semble que, à l’instar des progressistes de gauche, ces gens de droite souscrivent à une vision évolutive des valeurs et des principes de la morale et de la politique. En dernier ressort, ces références sont culturelles et peuvent ainsi évoluer au gré des consensus : il n’existe aucune échelle objective des valeurs. Ce faisant, ces faux conservateurs de droite qui ne veulent en réalité rien conserver, sont simplement en retard sur la gauche.

Pourtant, la question du PACS ou du mariage homosexuel entraîne, selon les réponses qu’on y apporte, des conceptions très divergentes du bien commun, deux structures de pensée, deux rapports à la société absolument incompatibles. Car d’une part, oui ou non la famille se fonde-t-elle sur l’altérité sexuelle et l’accueil de la vie pour devenir la cellule de base de la société, le socle sur lequel repose l’édifice social qu’elle inscrit ainsi dans la pérennité ? D’autre part, oui ou non la loi doit-elle être ordonnée exclusivement au bien commun ? Ou bien peut-elle être confisquée par les lobbies au profit d’intérêts catégoriels ? Si nous répondons positivement à ces deux interrogations, il est inutile de suggérer une législation, à quelque degré que ce soit (pacs ou mariage), en vue de reconnaître publiquement l’union homosexuelle. Car la loi doit être tournée vers l’intérêt de la société – et donc reconnaître, protéger et stabiliser la cellule familiale, nécessaire à sa survie – et non détournée en vue de satisfaire des intérêts individuels ou communautaires. Il y a là une position de principe.

Bref, ces gens là ne savent pas où ils habitent idéologiquement. Ils n’ont ni boussole, ni doctrine. Mais il est très inquiétant d’observer que cette vulnérabilité et cette fragilité entament désormais la crédibilité des responsables marinistes au sein du Front National. La reconquête et le nécessaire redressement du pays ne peuvent se faire que sur la base d’un engagement ferme et d’une action durable. Or il n’y a pas d’action durable sans principes forts, sans un engagement construit sur les piliers solides de la doctrine nationaliste.

A suivre…

Edouard

Ca sent vraiment Laroussi…

L’ex-président de l’université de Toulon, Laroussi Oueslati, a été mis en examen mercredi soir pour corruption passive par une personne chargée d’une fonction publique et écroué, a-t-on appris auprès du procureur-adjoint de la République Michel Raffin. Il est au coeur du scandale des diplômes chinois dans la faculté varoise dont la presse s’est déjà fait écho.

La justice continue de progresser autour des agissements malsains de cet individu qui avait fait de sa lutte contre le Front National et du mépris envers les jeunes militants nationaux dans son université une marque de fabrique, notamment en soulignant toujours ses origines et mettant en avant sa réussite sociale.

Monsieur Oueslati est l’image de ce système que nous rejetons: plusieurs fois élu de leur république, partisan de la discrimination positive, gauchiste bobo. Aux législatives de 2007, candidat PS – PR, son slogan était: « La France que j’aime est une France généreuse ». Cette générosité, il semblerait qu’il a su aller la chercher!

En plein scandale des emplois fictifs de Chirac, en pleine crise de crédit des instances dirigeantes du pays, il faut que cela soit bien dit et martelé: plus jamais d’excuses pour toute cette racaille politique!

Amaury

Retour sur le week-end de lancement de la campagne des JAG, par le responsable JAG des Pays de la Loire

(Cliquez sur les photos pour les agrandir)

Etant actuellement à l’étranger, je n’ai pas eu le plaisir de pouvoir participer au week-end des Jeunes avec Gollnisch Grand Ouest organisé la semaine dernière en Mayenne.

Ce rassemblement, réunissant une soixantaine de jeunes autour de Bruno Gollnisch et de responsables du Front National des Pays de la Loire, a été avant tout une chance de forger la cohésion des jeunes frontistes soutenant le candidat qui, selon eux, est seul capable de rassembler la droite nationale autour d’une doctrine solide pour aller au feu en 2012.

Ensuite, ce week end a été l’occasion pour Bruno Gollnisch de rencontrer les jeunes des différentes sections FNJ de l’Ouest, ayant en très grande majorité ralliés sa bannière, et de recevoir leur soutien indéfectible.

Enfin, cet événement, par effet de ricochet a permis de démontrer que toutes les allégations de nos détracteurs n’étaient que purs délires à dessein de nous discréditer. En effet, loin de l’image de cathos/tradis/sectaires que certains articles ou commentaires, lus sur un fameux site de désinformation partisane, ont pu laisser filtrer; les jeunes présents, plus nombreux que l’effectif ayant pointé à l’UDT, représentaient un large panel de confessions religieuses, de milieux sociaux et d’origines politiques, tous reconnaissant Bruno Gollnisch comme leader historique, naturel et inconditionnel du mouvement national.

En effet, loin de coller à l’étiquette de groupuscule sectaire et réactionnaire qui nous avait été attribuée, nous avons su montrer que même si le groupe facebook des « jeunes avec marine » nous dépasse sur le net en nombre de membres (moyenne d’âge : 40 ans…), sur le terrain, le FNJ soutient en très grande majorité Bruno Gollnisch. Si certains anciens, après tant de batailles ayant tournées à leur désavantage ont fait le choix de la facilité en optant pour la dédiabolisation express avec Marine, nous, jeunes nationaux, n’avons pas peur des défis, et par notre fougue, notre audace et notre idéalisme, nous refusons tout compromis, tout renoncement. Alain Soral lui même, ancien maître à penser de David Rachline, déclarait il y a peu : « dédiaboliser ça ne veut pas dire tomber dans le politiquement correct, ça ne veut pas dire lâcher sur certains fondamentaux; plaire aux français, ça ne veut pas dire plaire aux journalistes: on sait bien que c’est souvent le contraire”. On comprend maintenant pourquoi les marinistes s’en sont détachés bien rapidement il fût un temps…

Ainsi aujourd’hui, cette jeunesse demande à se faire entendre et clame son droit à un président la représentant, elle, l’avenir du mouvement. Un président droit et dynamique, pugnace et expérimenté, charismatique et cultivé : Bruno Gollnisch !

Un jour, le Général Mc Arthur écrivit : “On ne devient pas vieux parce qu’on a vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce que l’on a renoncé à son idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme”.

A bon entendeur …

François-Xavier,

Responsable régional JAG des Pays de la Loire.