Agenda de Bruno Gollnisch

Bruno Gollnisch sera cette semaine :

– sur France 5 aujourd’hui à 17H30 dans l’émission C à dire présentée par Axel de Tarlé
– sur RTL ce vendredi 12/11 à 7H50 dans la matinale politique de Jean-Michel Aphathie

Jean

Sortie imminente du livre de Bruno Gollnisch: Une volonté, un idéal

BRUNO GOLLNISCH 
Une volonté, un idéal
 
Date de parution : 13 novembre 2010
prix de vente : 20 €, 288 pages.
éditions SNEP

Le Front national c’était Jean-Marie Le Pen, soutenu par ces hommes de l’ombre au premier rang desquels figure Bruno Gollnish. L’arrivée au second tour en 2002, c’était lui. Lui, le directeur de campagne, lui aussi qui, durant toutes ces années, sur le terrain, a contribué à faire du Front national le premier parti ouvrier de France.

Bruno Gollnisch est volontairement toujours resté dans l’ombre de Jean-Marie Le Pen.

Ses détracteurs peuvent toujours dire de lui qu’il est trop « courtois » ou « trop discret ». C’est surtout l’hommage du vice à la vertu… Car voici venir le temps de l’ambition : celle de faire du FN le premier parti de France, à l’heure où le siphonnage de l’électorat FN par Nicolas Sarkozy a montré son visage grotesque. A travers un retour sur 30 ans de vie politique française, Bruno Gollnisch entend expliciter son engagement et ses ambitions.

Un livre programme, un livre indispensable pour qui veut comprendre le FN qui se construit aujourd’hui.

Extraits :

« Je sais que le Front National est à la croisée des chemins. Je suis convaincu que de grandes perspectives s’ouvrent devant nous, pour peu que nous rejetions les ferments de la division, fassions front commun devant l’adversité et que la flamme tricolore continue à briller dans le cœur de chacun d’entre nous. Si nous sommes réunis, elle deviendra brasier. »

« Les membres du Front National ne se laisseront pas tromper une fois de plus par les partisans du déclin, les apôtres du renoncement, ni par ceux qui viendront une nouvelle fois les solliciter en promettant de faire demain ce qu’ils n’ont pas pu, pas su ou pas voulu faire durant les décennies au cours desquelles ils ont occupé des responsabilités gouvernementales ! La renaissance de la France est à la portée des militants nationaux ; s’ils souhaitent me placer à leur tête, je n’ai qu’une chose à leur dire : je suis prêt. »

Vice-Président exécutif du Front National, député français au Parlement européen depuis 1989, Président du groupe FN au Conseil régional Rhône-Alpes depuis 1986. Arrivé devant Marine Le Pen aux élections des trois derniers congrès internes FN, Bruno Gollnisch est candidat à la succession de Jean-Marie Le Pen pour la présidence du Front National dont le congrès se tiendra les 15 et 16 janvier 2011.

PS : on vous indiquera, dès qu’il sera sorti, le moyen de vous procurer le livre de Bruno Gollnisch.

Frédéric Cabrolier quitte le Comité de soutien de Marine le Pen et rejoint Bruno Gollnisch !

Pourquoi je rejoins Bruno Gollnisch

Chers camarades,

Je pensais que la meilleure posture dans une bataille fratricide, était de se situer au dessus des partis, mais le courage en politique est de dire sa vérité et de monter en première ligne quand l’intérêt supérieur du parti ou du pays l’exige.

Je mesure la portée de cet engagement public pour quelqu’un qui préférait encore il y a peu la candidature de Marine, et je pense toujours qu’elle devrait être notre candidate aux futures présidentielles, mais il ne faut pas se tromper d’élection et nous ne votons pas pour la désignation de notre futur candidat aux Présidentielles mais pour la présidence du Front National.
Or au dessus de la politique, je place la morale, et je pense que le fonctionnement interne du Front National doit être en adéquation avec la morale publique que nous souhaitons défendre.

Je souhaite à l’avenir un Front National dans lequel la parole des militants qui montent au front ait plus de valeur que celle de ceux qui préfèrent fuir un combat qui leur parait perdu d’avance.

J’ai toujours considéré que le Front National appartenait d’abord aux militants et était un outil au service des Français et non une machine à accorder des places.
Or, il me semble que Bruno, de par son parcours, sa fidélité et son extrême droiture est le plus à même pour opérer ce retour à la méritocratie.

De plus je crois que l’on ne peut gagner des élections qu’en rassemblant d’abord le camp national, et Bruno Gollnisch, homme de rassemblement et de mesure, me semble le plus apte à accomplir cette tâche historique.
Enfin je suis sensible aux propositions de Bruno Gollnisch en direction des fédérations, car à quoi servirait un Front National à 20% aux présidentielles, sans implantation locale, comme l’a démontré le 21 Avril 2002 ?

Frédéric CABROLIER,
Tête de liste aux dernières Elections Régionales en Midi-Pyrénées

Mise au point

Par Amaury NAVARRANNE
Membre du bureau départemental FN Var
Coordinateur régional de la campagne de Bruno Gollnisch 

 

« Une erreur et un mensonge qu’on ne prend point la peine

de démasquer acquièrent peu à peu l’autorité du vrai. »

 

Charles MAURRAS

 

C’est avec stupéfaction que je lis une fois de plus dans Var Matin de ce dimanche 7 novembre 2010 que notre secrétaire départemental, Frédéric Boccaletti, réitère le bruit qu’il essaye de faire courir sur la volonté de Bruno Gollnisch de réintégrer Jacques Bompard au sein du Front National.

Frédéric Boccaletti était pourtant présent avec moi au Barroux dans le Vaucluse la semaine dernière ; à aucun moment le candidat à la succession de Jean-Marie Le Pen n’a parlé de Jacques Bompard, il n’a pas mentionné son nom, ni celui de la Ligue du Sud. Le nom de Jacques Bompard n’a été relayé que par la presse, JAMAIS par Bruno. Cela est donc de la désinformation. Mais il faut bien trouver un sujet pour critiquer Gollnisch… Alors Frédéric Boccaletti préfère écouter La Provence plutôt que son vice-président…

L’homme que nous pensons le plus apte à succéder à JMLP souhaite bien sûr créer, une fois président de notre mouvement, les conditions de l’unité des patriotes. A deux conditions rappelle-t-il à chaque fois, ce que ses détracteurs omettent toujours de préciser : la volonté sincère et exprimée des intéressés au retour (demande que Jacques Bompard n’a pas faite d’ailleurs !), et l’acceptation des instances dirigeantes du FN de reprendre dans ses rangs ces enfants égarés. C’est d’ailleurs par cette démarche que Frédéric Boccaletti est revenu au FN il y a deux ans…

Car Frédéric, c’est à toi à présent que je m’adresse. Toi qui as été scissionniste en 1998 avec le MNR. Epoque où TOUS CEUX qui nous ont quittés le faisaient en critique ouverte envers Jean-Marie Le Pen, souvent grossièrement, à qui vous vouliez voler le Front National. Même Marine n’échappait pas à la critique : Nicolas Bay (aujourd’hui très proche de Marine et secrétaire régional FN en Normandie) la traitait en 2004 de Tanguy de la politique : « à 36 ans, elle habite dans le château de son père à Saint Cloud, elle est payée par son père au siège du FN », lorsqu’il se présentait contre elle aux régionales en Île-de-France. Il alla même jusqu’à lui reprocher son manque d’idées et de doctrine, doutant ainsi de sa solidité. Moins de cinq ans après, on réintégrait aussi Nicolas Bay.

J’aimerai te rappeler, Frédéric, à ne pas trop t’égarer. Quand il s’agit de la raison d’état, rappelait Jean-Marie Le Pen en 2007 aux côtés de Bruno Mégret, il faut écarter les ressentiments personnels. Bruno Gollnisch reste dans cette haute vision.

Tu ne peux attaquer un homme comme Bruno Gollnisch, toujours fidèle au Front. Dans ses voiles à lui, le vent de la scission n’a jamais soufflé ! Je t’en prie, ne cherche pas à monter les frontistes les uns contre les autres, et à créer par là les conditions d’une nouvelle fracture.

Nous devons tous être des partisans de la camaraderie et de l’unité !

Continuer la lecture de « Mise au point »